Simon, un orphelin élevé par sa marraine, Lady Danbury. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
Simon Basset est le fils unique de Lord Hastings et de son épouse, Lady Sarah Hastings.
Après un accouchement difficile, Sarah meurt d’épuisement et l’enfant ne connaîtra jamais sa mère.
Lady Danbury, qui assiste à la naissance du bébé, est dévastée ; amie très proche de Lady Hastings, elle devient la marraine du petit garçon.
Simon est confié à des nourrices loin d’un père exigeant et sans affection pour son fils.
L’enfant est élevé dans les règles de la noblesse britannique, il apprend à lire, à écrire, à monter à cheval et à tirer au pistolet mais il se distingue par un léger bégaiement.
Son père, considérant ce petit handicap comme une tare indigne de son rang, le traite d’idiot ; il décide de ne plus le voir ni de lire les lettres que Simon lui envoie pour l’informer de ses progrès.
Lady Danbury, consternée par cette situation, prend en charge, avec tendresse et efficacité, l’éducation de l’enfant et affirme qu’il parlera, un jour, comme il faut.
Devenu adulte, Simon est un beau jeune homme au parler normal même s’il est peu bavard.
Après avoir parcouru le monde, Simon revient à Londres où Lady Danbury l’accueille avec une joie immense.
Elle organise un bal et, ayant gardé ses habitudes d’éducatrice, elle compte bien que Simon y assiste.
Très respectueusement, il la remercie et lui demande de l’excuser car il ne veut pas y participer mais malgré tout, obéissant, il accepte d’y apparaître, un peu ; et afin qu’il n’oublie pas la bonne éducation qu’elle lui a donnée, elle précise qu’il devra abandonner sa flasque de whisky à la maison.
Tout au long de ces relations, Simon se montre relativement soumis à l’autorité de sa marraine ; quant à Lady Danbury, elle conserve son rôle de tutrice et n’hésite pas à se montrer autoritaire et à réprimander son filleul quand nécessaire.
Elle sait que Simon a fait le serment de ne jamais se marier et de ne jamais avoir d’enfants mais Lady Danbury est bien décidée à ne pas en tenir compte.
Assailli par les jeunes filles à marier et leurs mères, Simon met en place le jeu du "faire semblant " avec Daphné Bridgerton et voilà que Lady Danbury se met à rêver, avec la complicité de Lady Bridgerton, d’une union entre son filleul et la jeune fille car "ils forment un si beau couple" dit-elle.
Simon n’en démord pas, il ne veut pas se marier bien qu’il semble courtiser avec application et inclination Daphné, alors sa marraine va, petit à petit, essayer de le faire changer d’avis.
Elle finit même par se fâcher en lui donnant un coup de canne, elle lui reproche d’être cruel avec son badinage trop long, "Je vous ai appris à mieux vous conduire " dit-elle, face à Simon qui baisse la tête.
Alors pris au piège, Simon décide de quitter Londres et Lady Danbury est non seulement furieuse mais elle donne à son filleul, tel le petit garçon qu’elle a élevé, une véritable leçon sur ce que l’amour peut apporter.
Le Duc, peu convaincu, confirme son départ, laissant sa marraine dépitée mais avant de partir il trouve le moyen d’être provoqué en duel par Anthony Bridgerton ; Daphné empêche cet acte stupide en décidant qu’elle épousera Simon.
Après avoir beaucoup bu, le Duc retrouve Lady Danbury qui, une fois encore, avec un regard désapprobateur, se fâche et comme toujours, tel un petit garçon, Simon baisse la tête.
Le mariage étant acquis, Lady Danbury s’arrange pour effacer les obstacles afin que la cérémonie ait enfin lieu et que les jeunes mariés quittent Londres pour leur voyage de noces.
Quand des difficultés dans le couple se présentent, Simon décide de s'éloigner son épouse mais Daphné fouille dans le bureau de son mari et Lady Danbury vient lui raconter tous les efforts qu’a fait l’enfant pour éliminer son handicap ; elle en profite pour confirmer tout l’amour quasi maternel qu’elle a pour ce garçon courageux et plus que méritant.
Finalement, lors d’un dernier bal, sous la pluie et protégée par Lady Danbury, Daphné déclare, de nouveau, son amour, cette fois, inconditionnel pour Simon.
Plus tard, Lady Danbury révèle toute la joie d’une "presque" grand-mère de prendre le petit garçon de Simon dans ses bras.