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La Chronique des Bridgerton
#202 : Jour de courses

La reine a nommé son diamant de la saison : Edwina Sharma. Anthony et les prétendants intéressés rivalisent d’ingéniosité pour l’approcher malgré sa sœur Kate qui choisit les fréquentations de sa sœur. Une réunion aux courses royales d’Ascot qui avait bien commencé pour Anthony va se retourner contre lui. Eloïse avance dans sa recherche pour démasquer Lady Whistledown.

Kate fait tout pour évincer Anthony mais Edwina a l’air attirée par le vicomte. Sans s’en rendre compte, Colin, revenu de son voyage, blesse Pénélope. Anthony apprend un poème pour impressionner Edwina mais préfère l’honnêteté.

Popularité


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Titre VO
Off to the Races

Titre VF
Jour de courses

Première diffusion
25.03.2022

Première diffusion en France
25.03.2022

Photos promo

Will Mondrich (Martins Imhangbe)

Will Mondrich (Martins Imhangbe)

Will Mondrich (Martins Imhangbe) et Benedict Bridgerton (Luke Thompson)

Will Mondrich (Martins Imhangbe) et Benedict Bridgerton (Luke Thompson)

Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey) et Benedict Bridgerton (Luke Thompson)

Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey) et Benedict Bridgerton (Luke Thompson)

Hyacinth Bridgerton (Florence Hunt), Colin Bridgerton (Luke Newton) et Gregory Bridgerton (Will Tilston)

Hyacinth Bridgerton (Florence Hunt), Colin Bridgerton (Luke Newton) et Gregory Bridgerton (Will Tilston)

Genevieve Delacroix (Kathryn Drysdale)

Genevieve Delacroix (Kathryn Drysdale)

Kate Sharma (Simone Ashley)

Kate Sharma (Simone Ashley)

Colin Bridgerton (Luke Newton), Benedict Bridgerton (Luke Thompson) et Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey)

Colin Bridgerton (Luke Newton), Benedict Bridgerton (Luke Thompson) et Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey)

Kate Sharma (Simone Ashley), Edwina Sharma (Charithra Chandran) et Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey)

Kate Sharma (Simone Ashley), Edwina Sharma (Charithra Chandran) et Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey)

La Reine Charlotte (Golda Rosheuvel)

La Reine Charlotte (Golda Rosheuvel)

Plus de détails

Ecrit par : Daniel Robinson
Réalisé par : Tricia Brock

Adjoa Andoh ... Lady Danbury
Bessie Carter ... Prudence Featherington
Calam Lynch ... Theo Sharpe
Charithra Chandran ... Edwina Sharma
Claudia Jessie ... Eloise Bridgerton
Emma Naomi ... Alice Mondrich
Florence Hunt ... Hyacinth Bridgerton
Golda Rosheuvel ... Queen Charlotte
Harriet Cains ... Philipa Featherington / Philipa Finch
Hugh Sachs ... Brimsley
Jack Ward ... Earnest Suitor
Jessica Madsen ... Cressida Cowper
Joanna Bobin ... Lady Cowper
Joanne Henry ... Judgy Mama
Jonathan Bailey ... Lord Anthony Bridgerton
Julie Andrews ... Lady Whistledown (voice)
Kathryn Drysdale ... Genevieve Delacroix
Leo Wan ... Surly Suitor
Liam Noble ... Vendor
Liam Woon ... Minister
Lorn Macdonald ... Albion Finch
Lorraine Ashbourne ... Mrs. Varley
Louis Gaunt ... Lord Lumley
Lucinda Raikes ... Mrs. Finch
Luke Newton ... Colin Bridgerton
Luke Thompson ... Benedict Bridgerton
Martins Imhangbe ... Will Mondrich
Nicola Coughlan ... Penelope Featherington
Oli Higginson ... Footman John
Polly Walker ... Lady Portia Featherington
Robert Wilfort ... Mr. Finch
Ruby Stokes ... Francesca Bridgerton
Rupert Young ... Lord Jack Featherington
Ruth Gemmell ... Lady Violet Bridgerton
Sam Frenchum ... Mr. Thomas Dorset
Sam Haygarth ... George Cruikshank
Shelley Conn ... Lady Mary Sharma
Simone Ashley ... Kate Sharma
Will Tilston ... Gregory Bridgerton

2.02 – Jour de courses

Très chers lecteurs.          
La compétition, à ce qu'il paraît, est une opportunité pour chacun de se lever et de se tenir prêt à affronter ses plus grands défis. Certes, si ce que votre chroniqueuse a entendu dire ce matin est vrai, un grand défi concernant le diamant de la saison vient d'être lancé.
Chaque prétendant désireux d'obtenir une audience auprès de miss Edwina Sharma doit d'abord apprivoiser la mégère, cette vieille fille épineuse qui lui tient lieu de sœur.
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Edwina regarde la liste des prétendants admis par Kate pour faire leur cour. Lady Danbury est étonnée de voir Lord Lumley en tête de liste mais Edwina renouvelle la confiance qu’elle a envers sa sœur ainée.

Pendant ce temps, Anthony et Benedict se font raser ensemble par leur valet de chambre respectif. Anthony avoue qu’il cherche une fiancée avec sa tête et non avec son cœur. Cependant, la sœur ainée dresse constamment des obstacles entre lui et miss Edwina Sharma.

Lady Danbury remarque que Lord Bridgerton a été omis ; Kate précise que ce dernier recherche une femme par devoir car il ne croit pas à l’amour du tout. Lady Bridgerton explique alors que la plupart des mariages dans la bonne société sont de simples mariages d’affaires, qui fonctionnent depuis des siècles. Le véritable amour est très rare. Mary fait remarquer qu'Anthony correspond aux attentes d’Edwina. Kate s’approche de sa sœur et lui assure qu’avec Lord Lumley, Lord Bridgerton deviendra vite un lointain souvenir.

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… Naturellement, la seule compétition qui attire mon attention est le jeu de la séduction. Alors bonne chance aux joueurs de cette année. Surtout évitez de trébucher sur la ligne de départ. …
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Une longue file de prétendants avec cadeaux et fleurs s’étire dans l’escalier jusque devant la porte du salon où Lord Lumley fait sa cour à Edwina. Certains prétendants commencent à s’impatienter. Anthony, que Kate n’avait pas vu car il était tout au bout de la file, leur demande un peu de patience et profite pour s’avancer. Malgré tous les arguments énoncés par Anthony, Kate l’éconduit proprement.

Pénélope est venue rendre visite à son amie Eloïse, absorbée par la dernière édition des chroniques de Lady Whistledown. Si elle arrivait à la rencontrer, elle pourrait diriger la chroniqueuse vers des sujets sérieux comme les droits du beau sexe.

Colin fait irruption dans le salon, toute la famille est heureuse de le voir revenu de son long voyage. Pénélope n’arrive pas à s’approcher de lui, les membres de la famille se jettent sur lui, chacun son tour. D’autant qu’Anthony fait également irruption et demande à la famille de se préparer pour se rendre aux courses, unis comme «un seul homme».

Chez les Featherington, Portia et Madame Varley sont arrêtées devant un râtelier que le nouveau Lord a fait installer pour ses armes et trophées dans le corridor. Il arrive pour admirer le résultat et n’écoute pas Portia qui lui suggère qu’une place dans sa chambre serait plus appropriée. Il leur demande ensuite de se préparer pour assister aux courses royales.

Les courses royales à Ascot attirent toute la bonne société. Philippa raconte à ses amies la cérémonie prévue pour son mariage, Edwina est accompagnée par Lord Lumley, chaperonnée par Kate. Lady Danbury leur présente Thomas Dorset qui souhaite se rapprocher de Kate.

Kate discute avec Thomas Dorset lorsqu’elle aperçoit Anthony au milieu de ses frères. Elle propose à Dorset de regagner leurs places. Mondrich et sa femme s’approchent des frères. Il leur demande de passer au club de gentlemen qu’il vient d’ouvrir et les invite à son inauguration. Bien que membres du White de père en fils, ils promettent d’y passer.

Violet est satisfaite du choix d’Anthony qui a décidé de faire sa cour à Edwina et essaie d’intéresser Eloïse à d’éventuels prétendants, alors que cette dernière ne pense qu’à démasquer Lady Whistledown. Anthony passe devant la tribune où sont installées les sœurs Sharma. Lord Lumley l’appelle et vante l’hospitalité des Bridgerton. Anthony en profite pour envoyer Lord Lumley chercher des boissons pour les dames et prend sa place entre Edwina et Kate. Colin remercie Pénélope pour les lettres qu’elle lui a envoyé pendant son voyage. Eloïse vient chercher Pénélope pour lui parler d’un indice qu’elle vient de découvrir : Lady Whistledown vient de changer d’imprimeur. Au grand désappointement de Kate, Edwina semble sous le charme d’Anthony. Lady Danbury explique à Violet que Kate n’acceptera pas le mariage d’Anthony avec sa sœur car il semble que le vicomte ait écarté l’amour dans sa recherche d’une épouse. En discutant avec Dorset, Kate finit par comprendre qu’il servait de diversion pour permettre à Anthony d’approcher Edwina. Kate emmène immédiatement sa sœur qui ne comprend pas.

Le soir, Eloïse paie un valet de pied pour l’accompagner chez l’imprimeur. La boutique est fermée mais elle trouve un commis dans la ruelle, en train de charger des brochures. Eloïse voudrait savoir ce qu’il sait sur Lady Whistledown, mais le commis ne se laisse pas impressionner. Il pense qu’elle est une jeune fille frivole en quête de renseignements sur le célibataire le plus acceptable du marché. Eloïse rétorque qu’elle recherche l’écrivain pour discuter par exemple des droits des femmes. Le commis reste sans voix et lui tend une des brochures qui justement parle des droits des femmes, puis il s’en va en lui assurant que s’il croise Lady Whistledown il ne manquera pas de la saluer de sa part.

Philippa épouse enfin Albion, Madame Finch étant satisfaite que les soucis d’ordre domestique soient réglés. Portia rejoint le nouveau lord Featherington dans son bureau. Il essaie de mettre de l’ordre dans les livres de compte mais les trouve incompréhensibles.

Edwina reproche à Kate de l’avoir empêchée de faire plus ample connaissance avec Anthony. Kate pense que le vicomte est dépourvu d’honnêteté. L’arrivée de la reine met fin à leur conversation. Elle emmène Edwina voir ses zèbres. Elle met Edwina en garde contre les rumeurs et les médisances que son titre de diamant pourrait susciter. Lady Danbury envoie Kate montrer les jardins à Edwina. Restée seule avec la reine, elle lui dit qu’elle a compris qu’elle cherche à démasquer Lady Whistledown en se servant de son diamant. Les deux amies repartent bras dessus bras dessous vers l’enclos de l’éléphant.

Les trois frères s’entrainent à l’escrime. Anthony est furieux contre Kate mais il garde à l’esprit son objectif : il fera d’Edwina sa vicomtesse.

Lady Danbury organise une soirée pour qu’Edwina puisse faire mieux connaissance avec ses nombreux soupirants. Par la fenêtre, Kate voit Anthony qui apporte un cheval en cadeau à Edwina. Elle sort et ils se disputent à nouveau. Ils sont interrompus par Edwina qui ne se montre pas insensible au geste d’Anthony. Avec un regard haineux, elle ramène Edwina à l’intérieur. Kate a établi la liste des invités pour la soirée d’Edwina. Anthony ne reçoit pas son invitation mais Violet en compagnie d’Eloïse et de Colin s’y rendent. Violet en profite pour reprocher à son fils d’afficher son dédain pour l’amour, ce qui lui attire le mépris de Kate Sharma. Les prétendants vont choisir précautionneusement leurs mots et iront jusqu’à lire de la poésie. Elle espère que cette leçon servira à son fils. Au cours de la soirée, Eloïse et Kate se moquent de ces messieurs, qui rivalisent dans leur spécialité, chant, danse, musique… et se rendent ridicules à leurs yeux. Edwina s’ennuie et a l’air de chercher quelqu’un dans l’assistance. Pénélope s’approche d’elle et elles se complimentent sur leur toilette. Colin entre dans le salon, Pénélope le rejoint en mettant court à la conversation. Elle pense qu’il est là en qualité de prétendant, mais Colin la détrompe et la remercie pour ses lettres encourageantes. Grâce à elles il a fait le vide dans sa tête et renoncé aux femmes et à l’amour. Il ne compte pas Pénélope comme une femme, elle est son amie. Il s’en va et la laisse seule, malheureuse. Au cours de la soirée, Portia entend Lady Cowper et Cressida faire l’éloge du nouveau Lord Featherington. Elle comprend que le collier de Cressida est un cadeau de Jack Featherington, ce que Lady Cowper confirme.

Benedict rend visite à Mondrich dans son club et le félicite d’avoir pu créer un cadre aussi élégant grâce à son honnête labeur, ce qui amène un air triste sur le visage de Mondrich. Ce dernier présente Bénédict à Monsieur Cruikshank qui compte beaucoup de relations parmi les artistes et les marchands d’art. Il lui conseille de s’inscrire à la dernière place vacante à l’académie de peinture. Anthony fait irruption et lui demande de sortir. Il veut que son frère lui apprenne à déclamer un poème de Byron. Benedict déconseille Byron et récite l’un de ses propres poèmes sur l’art d’admirer une femme, qu’Anthony s’empresse de noter.

Lady Danbury remercie tous ces messieurs pour la démonstration de leurs talents. C’est le moment que choisit Anthony pour faire son entrée en expliquant qu’il y avait une omission sur la liste d’invités. Kate intervient aussitôt en lui faisant remarquer que la soirée était sur le point d’être terminée. Anthony insiste et ose penser qu’Edwina voudra l’écouter. L’assemblée lui demande de parler. Anthony commence à réciter le poème de Benedict mais s’arrête et explique que ces mots ne sont pas les siens, n’étant pas doué pour la poésie. Il pourrait prétendre être quelqu’un d’autre et offrir des démonstrations de passion auxquels elle est en droit d’attendre, mais assure qu’il ne sera jamais pris en défaut lorsqu’il s’agira d’action et de devoir. Kate souligne pour Edwina qu’il ne lui donnera jamais l’amour qu’elle mérite mais Edwina admire Anthony d’avoir été honnête ce qui est la marque d’un vrai gentleman. De rage Kate se retire dans sa chambre où Lady Danbury vient la rejoindre. Elle lui demande de retourner à la réception, Kate préfère attendre encore un moment. Tout ce qu’elle souhaite est laisser Edwina entre de bonnes mains lorsqu’elle rentrera chez elle seule, loin de Londres qu’elle exècre. Lady Danbury trouve affligeant qu’à 26 ans elle souhaite se retrouver seule. Kate veut devenir gouvernante et si Lady Danbury a l’air satisfaite d’être seule pourquoi serait elle malheureuse ? Lady Danbury répond qu’elle est veuve. Elle a aimé avec passion l’être cher qu’elle a perdu. Elle a maintenant le droit de faire ce qui lui plait. Kate n’est pas elle et si elle continue dans cette voie, elle ne le sera jamais.

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Il y a deux choses qui se cachent dans les rues sombres et ombragées de notre belle ville. La vermine et les secrets. Je vous laisse seuls juges, chers lecteurs, de ce qui fait le plus de mal. On doit se demander quels secrets chers à son cœur miss Edwina, le diamant de la saison, garde-t-elle par-devers elle. Et avec qui choisira-t-elle de les partager. Le vicomte Bridgerton, peut-être ? En tout cas, l'opinion de l'aînée des Sharma sur le sujet n'est certes plus un secret pour personne.
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Le lendemain, Pénélope rend visite à Eloïse. Cette dernière lui fait part de ses dernières découvertes, notamment les papiers identiques et les lettres K légèrement déformées, il s’agit bien du même imprimeur.

Au marché, Pénélope s’empresse d’acheter une lettre K neuve. Madame Delacroix la surprend vêtue en domestique, elle s’enfuit.

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Pour être juste, il faudrait reconnaître que votre chroniqueuse n'est pas avare s'agissant de partager ses secrets. Car qui d'autre pourrait se vanter de vous tenir tous si bien informés ?
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Brimsley apporte à la reine la liste des jeunes personnes ayant approché Edwina la veille. Outre Eloïse, Pénélope figure sur la liste.

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Comme quoi même les secrets les mieux gardés finissent toujours par être révélés au grand jour.
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2.02 - Jour de courses

Lady Whistledown : Très chers lecteurs.
La compétition, à ce qu'il paraît, est une opportunité pour chacun de se lever et de se tenir prêt à affronter ses plus grands défis. Certes, si ce que votre chroniqueuse a entendu dire ce matin est vrai, un grand défi concernant le diamant de la saison vient d'être lancé.
Chaque prétendant désireux d'obtenir une audience auprès de miss Edwina Sharma doit d'abord apprivoiser la mégère, cette vieille fille épineuse qui lui tient lieu de sœur.
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Lady Danbury : Lord Lumley en haut de la liste.
Edwina : N'est-il pas une sorte de dandy ?
Kate : J’emploierai plutôt le terme "galant".
Mary : Quelqu'un comme lui vous plairait Edwina ?
Edwina : Si Kate pense qu'il me convient, moi aussi.

Benedict : Miss Sharma.
Anthony : Miss Edwina Sharma. Pas la sœur. Miss Edwina suffira.

Lady Danbury : Je vois que vous avez omis lord Bridgerton.
Mary : Oui, lui correspond aux attentes d'Edwina.
Lady Danbury : Un oubli de votre part, ma chère ?
Kate : Lord Bridgerton s'y entend bien pour donner de lui bonne impression.
Lady Danbury : Que savez-vous de lui ?
Kate : Il a dit tout à fait clairement rechercher une femme uniquement par devoir et en fait, il ne croit pas à l'amour du tout.

Anthony : C'est uniquement par affection pour ma famille que je me cherche une fiancée avec ma tête et pas avec mon… cœur.

Lady Danbury : Et cela vous paraît extraordinaire ? La plupart des mariages de la bonne société sont en fait de simples mariages d'affaires, ma chère. Des affaires qui ont cours et fonctionnent depuis des siècles. C'est le véritable amour qui est une chose très rare.

Benedict : Miss Edwina partage ton affection ?
Anthony : Pas encore. Elle m'aimerait déjà s'il n'y avait…
Benedict : La grande sœur. Elle est épineuse, j'imagine ?
Anthony : En effet.

Kate : Tu sais quelles sont tes attentes, Bonne. Tu ne dois pas les oublier. Avec lord Lumley, le vicomte ne sera plus qu'un lointain souvenir. J'en suis certaine.

Anthony : Mais elle ne me trouble pas. Quand on y songe, toutes les roses ont des épines après tout.

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… Naturellement, la seule compétition qui attire mon attention est le jeu de la séduction. Alors bonne chance aux joueurs de cette année. Surtout évitez de trébucher sur la ligne de départ. …
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Les prétendants se pressent chez Lady Danbury.

Un prétendant : Miss Sharma, devrais-je patienter sur le seuil de la porte toute la journée ?
Second prétendant : Lumley a déjà passé un temps excessif avec elle.
Kate : C'est parce que ma sœur est tout à fait captivée par sa conversation. Et vous n'aimeriez pas que je vous interrompe quand ce sera votre tour, ai-je tort ?
Anthony : Écoutons cette jeune dame, et attendons avec la grâce accordée par notre hôtesse.
Kate : Merci, lord…
Anthony : Bridgerton.
Kate : Je crains fort que vous ne soyez en retard monsieur. Vous vous trouvez le dernier d'une queue considérablement longue.
Anthony : Je souhaite escorter miss Edwina aux courses cet après-midi.
Kate : Ma sœur a déjà un cavalier cet après-midi.
Anthony : Demain alors ?
Kate : Elle est aussi engagée demain.
Anthony : Et le jour suivant ?
Kate : Maintenant que j'y songe, elle devrait être libre. Après Noël. Sauf bien sûr si elle est en pleine lune de miel. J’ai dit quelque chose de drôle ?
Anthony : Vous m'avez fait rire.
Kate : C’est vrai ? Ce qui est drôle monsieur, c'est vous ici maintenant, après ce que j'ai entendu l'autre soir.
Anthony : Ce que vous avez entendu n'était pas pour vos oreilles.
Kate : Mais cela vient également s’ajouter à ce que j'ai lu sur vous. Votre réputation de libertin vous précède.
Les prétendants :
- Pas de passe-droit, Bridgerton ! Au bout de la queue !
- Oui, il a raison !
- Oui !

Pénélope : Est-ce un exemplaire du lady Whistledown ?
Eloïse : Oui, en effet.
Pénélope : Je croyais qu'on en avait assez d'elle.
Violet : Ne la découragez pas. Si elle s'est prise d’intérêt pour lady Whistledown, c'est peut-être qu'elle s'intéresse à ce qu'elle peut lire sur les gentlemen célibataires de la saison.
Eloïse : Je n'arrive pas à trouver une façon plus intelligente de le dire : mais non ! Son dernier feuillet n'est pas le traité de philosophie sur les droits du beau sexe que j'avais espéré, mais…
Pénélope : Je doute que Lady Whistledown n’ait changé entièrement son style d'écriture si soudainement.
Eloïse : Peut-être pas. Mais peut-être le fera-t-elle ?
Pénélope : Peut-être ne le veut-elle pas. Peut-être est-elle satisfaite. Et puisqu’elle a éveillé à nouveau votre intérêt, peut-être que ses écrits plaisent aux lecteurs ?
Eloïse : Oui, mais elle pourrait faire tellement plus. Je sais que je pourrais l'en convaincre, si toutefois j'arrivais à la trouver, cette fois.
Violet : Ce que vous devez trouver, ma chérie, c'est le bonheur. Pénélope, aidez-moi. Éloïse pourrait trouver le bonheur avec quelqu'un, n’est-ce pas ?
Pénélope : J'imagine que oui. Et pas avec lady Whistledown mais avec quelqu’un que … Colin ?
Eloïse : Mon frère ?
Pénélope : Non pas que … Colin !
Colin : Content de voir que les choses n’ont pas changé.
Eloïse : Mon frère !
Violet : Colin !

Colin : Pourriez-vous mettre de côté la dernière dispute familiale et m’embrasser ?
Violet : Je ne m’attendais pas à ce que vous rentriez aussi tôt, mon chéri.
Colin : J’avoue que vous me manquiez trop.
Hyacinthe : Mon frère, mon frère !
Benedict : Il nous faudra t’emmener sur l’heure chez le médecin. Cet étrange duvet qui t’a poussé au menton est sans nul doute une maladie.
Colin : Très drôle
Francesca : Et tu sembles aussi avoir pris le soleil. Que c’est bizarre.
Pénélope : Je lui trouve l’air distingué.
Hyacinthe : Maintenant je dépasse Grégory de 2 centimètres.
Gregory : Pas du tout, regarde !
Colin : Et où se trouve donc notre intrépide vicomte ?
Violet : Il est ... déjà rentré de faire sa cour à une jeune fille.
Anthony : Colin ! tu es rentré, c’est encore mieux. Chère famille, je vous demande de vous préparer pour aller aux courses aujourd’hui. Nous allons nous y rendre, unis comme un seul homme.

Le nouveau lord Featherington a fait installer un râtelier pour ses armes et ses trophées.

Madame Varley : Je lui ai dit que vous n’aimeriez pas madame, mais il a insisté.
Pénélope : C’est l’œuvre de cousin Jack ?
Portia : Cousin ? C’est ainsi qu’il vous demande de l’appeler ?
Pénélope : Sa présence vous ennuie maman ?
Portia : Ho bien sûr que non. Le nouveau lord Featherington est venu pour nous couvrir de bienfaits et de richesse. S’il nous faut endurer quelques choix de style douteux en échange, en plus de points discutables en matière de savoir vivre, alors, on doit l’accepter.
Madame Varley : J’ai aussi cru comprendre qu’il voulait transformer la petite salle à manger en salle de jeux privée.

Le nouveau lord Featherington arrive.

Jack : Aaah, le résultat est splendide. Ça donne un peu de vie à l'endroit.
Portia : Un ornement heureux, monsieur. Encore plus approprié dans votre chambre peut être.
Pénélope : Ce sont tous vos trophées, cousin Jack ?
Jack : Chaque arme accrochée ici a une splendide histoire et est digne d'intérêt, Pénélope. Il faudra que je vous raconte toutes mes aventures un jour. Bien ! Mesdames, habillez-vous vite, nous assistons aux courses royales aujourd'hui.

Il y a foule pour les courses royales à Ascot.

Philippa : Ce sera une petite cérémonie intime, car M. Finch dit vouloir que rien ne le distraie de la mariée. C'est incroyable, non ?
Prudence : Tout à fait incroyable. Tu ne trouves pas, Pénélope ?
Pénélope : As-tu vu les Bridgerton ?
Lord Lumley : Quel bonheur que vous aimiez la littérature comme moi. Appréciez-vous Byron ?

Edwina : J'ai beaucoup lu, mais je me considère novice en poésie.
Kate : Quelle bonne fortune de trouver un connaisseur en poésie comme Lumley.
Lumley : Beaucoup considèrent la poésie comme des platitudes, des mots à lire à mi-voix. Pour moi, au contraire, on doit la lire à haute voix comme une musique. Tenez, j'ai toujours un petit recueil de poche de mes poèmes préférés partout où je vais.
Dorset : Lady Danbury, je vous serai reconnaissant de me présenter convenablement. J’ai bien peur que ma carte se soit égarée dans tout ce battage chez vous ce matin.
Lady Danbury : Bien entendu. M. Thomas Dorset, permettez-moi de vous présenter miss Sharma et miss Edwina Sharma.
Dorset : C’est un plaisir.
Kate : Je crains que ma sœur ait déjà un cavalier pour aujourd'hui, M. Dorset.
Dorset : C'est ce que je vois. Cela dit, j'avais espéré bavarder avec vous.
Dorset : Que vous inspire la saison, miss Sharma ?
Kate : C'est une saison, M. Dorset. Je devrais sans doute…
Dorset : Londres est affreusement loin de Bombay. Vous arrivez bien de là-bas, non ?
Kate : Oui.
Dorset : Je connais l'Inde. C'est un pays magique. Il doit beaucoup vous manquer.
Kate : Chaque jour à chaque instant. Mais particulièrement à l'heure du thé. … Il faut trouver nos sièges.
Dorset : Je vous accompagne ?
Will Mondrich : Les Bridgerton !
Benedict : Monsieur Mondrich. La retraite vous réussit, apparemment.
Alice Mondrich : Si seulement il était retraité.
Colin : Avez-vous l’intention de faire une incursion sur le ring ?
Mondrich : Dans les affaires, plutôt. Je vais ouvrir un club pour gentlemen, destiné à rivaliser avec les cercles situés sur Saint James, si nous avons de la chance.
Anthony : Vous savez que nous sommes membres du White de père en fils ?
Mondrich : L'inauguration aura lieu demain. Vous êtes tous invités bien sûr.
Anthony : Excusez-moi, vous voudrez bien me pardonner ?
Benedict :  Dites-moi, Monsieur Mondrich. J'aurais bien besoin de stimulation.

Violet : Regardez donc votre frère. La saison mondaine le frustrait au début lui aussi, mais regardez-le. Il semble que cette miss Edwina lui ait donné le goût de faire sa cour à présent. Ce que je veux vous dire, Éloïse, c'est que nous devons nous efforcer de trouver le partenaire qui éveille notre curiosité.
Eloïse : Alors, je danserai avec une flopée de grenouilles et l'une d’elles se transformera en prince.
Violet : Pourquoi pas, si c'est le prix à payer. Votre père, vous savez… Éloïse, est-ce que vous m'écoutez ? Qu'avez-vous dans la main ?
Eloïse : Mais rien, maman. Ce n’est qu’une brochure sur… une nouvelle méthode de toilettage de chiens, apparemment. Hé bien quoi ? Une lady a le droit d'avoir un passe-temps, non ? Merci.
Kate : M. Dorset, vous voyagez loin et assez souvent, apparemment ?
Dorset : Oui, pour mes études. Je trouve la médecine particulièrement fascinante.
Edwina : Aider les autres est une noble cause, c'est certain. M. Dorset te ressemble à cet égard, ma sœur.
Kate : Edwina, as-tu questionné lord Lumley sur ses intérêts ou pas encore ?
Lord Lumley : Lord Bridgerton !
Anthony : Miss Sharma. Miss Edwina. Lumley.
Edwina : Je suis enchantée de vous voir, monsieur.
Dorset : Lord Bridgerton, permettez-moi de me présenter. M. Thomas Dorset.
Anthony : Miss Edwina, j'avais espéré vous rendre visite ce matin…
Kate : Ma sœur est parfaitement au courant…
Anthony : J'avais promis à ma famille de les rejoindre au petit déjeuner. Nous sommes incroyablement proches. Nous nous retrouvons régulièrement. Oh ! Regardez. Ils sont tous là.
Edwina : On peut souvent juger un homme d'après sa famille. Elle en dit long sur lui.
Kate : Oui, il y a beaucoup d’excellentes familles très aimantes dans cette société, non ?
Lumley : Aucune n’est aussi accueillante que les Bridgerton. Ma mère est désireuse de revenir prendre le thé à Bridgerton House depuis un moment déjà.
Anthony : Nous devons réaliser son vœu, mon ami. À propos de boissons, je viens de remarquer que ces dames n'en avait guère.
Kate : Nous sommes très bien ainsi monsieur.
Anthony : Il fait une chaleur du diable pour la saison et tout gentleman qui se respecte…
Lumley : Miss Edwina, permettez-moi d'aller vous chercher une limonade.
Edwina : Ho ! Ce sera des plus agréable. Merci, monsieur.

Lumley se lève et se dirige vers le stand des boissons. Anthony en profite et s’installe à sa place, entre Edwina et Kate.

Anthony : Excusez-moi. C’est une splendide journée pour une course.

Colin : Pen !
Pénélope : Colin !
Colin : Nous n'avons pas eu l’occasion de parler ce matin.
Pénélope : Mais si, j'ai dit : "Colin !" Mais, enfin, ce n'était rien de notable. J'avais envie d'en entendre plus sur vos voyages.
Colin : J'aurais cru que mes voyages finiraient par vous lasser. Vous avez lu et répondu à mes lettres plus que n’importe qui d’autre.
Pénélope : C'est possible… Bien qu'il y ait toujours plus à dire qu'on ne peut en mettre sur une page.
Colin : Pen. Est-ce que vous allez bien ?
Pénélope : Oui, plutôt bien. Et vous ? Ne répondez pas. Je sais ce que vous ressentiez en explorant les pentes du mont Olympe, la fauconnerie avec les Turcs.
Colin : Tout ça était passionnant.
Pénélope : Et aussi solitaire, il me semble.
Colin : Oh. Mais je n'étais jamais seul, en fait.
Pénélope : Je vois. Vous avez rencontré quelqu'un …
Eloïse : Pénélope, Pénélope, je vous retrouve enfin.
Pénélope : Vous me trouvez toujours.
Eloïse : Tu es là depuis à peine quelques heures et déjà sur mon chemin ?
Colin : Tu m'as aussi beaucoup manqué, Éloïse.
Eloïse : Je crois avoir fait une découverte. Whistledown a un nouvel imprimeur.
Pénélope : Ho, impossible.
Eloïse : Pour de simples mortels, oui. Mais je commence à sentir mon vrai pouvoir. Vous avez remarqué en quoi est faite la brochure ?
Pénélope : C'est du papier ?
Eloïse : Précisément ! Le papier a la même texture que celle du Whistledown.
Pénélope : Tous les papiers ne sont-ils pas pareils.
Eloïse : La texture, le poids, le grain, la façon dont la lumière passe au travers quand on le tient en l’air. Oui, je vois que vous pensez que je suis folle.
Pénélope : Je n’ai pas dit ça.
Eloïse : Si, je le sais.
Pénélope : Vous êtes surtout passionnée, mais je crains que ce ne soit qu’une coïncidence.
Eloïse : Cette brochure est sans doute ce qu'elle semble être.
Pénélope : Un ramassis d'instructions pour éduquer un chiot et rien d'autre.
Eloïse : Hmm. Oui. C'est ça. Vous devez avoir raison.
Pénélope : Je dois aller faire semblant de me réjouir des noces prochaines de ma sœur.
Eloïse : Transmettez-lui mes amitiés.

Eloïse relit la brochure, et l’adresse de l’imprimeur :
IMPRIMEURS CHANCERY LANE
LONDRES 1814

Anthony et Edwina discutent en chuchotant, ce qui exaspère Kate.

Anthony : … … C’est un champion …
Edwina : … …
Vraiment ?
Kate : Lord Lumley semble s'être égaré lors de son voyage au stand de limonade.
Dorset : Je peux très bien aller le chercher ?
Kate : C’est le vicomte qui a insisté pour les rafraîchissements. Il pourrait peut être y aller ?
Anthony : Avec la course qui va commencer !
Edwina : Quel est votre favori ?
Kate : Edwina !
Anthony : Nectar. De bonne race, un excellent entraîneur. Et d'un bon naturel.
Kate : Nectar, vraiment ?
Anthony : Oui. Mon instinct dit qu'il va gagner.
Kate : Votre instinct ?
Anthony : Je vous demande pardon ?
Kate : Vous avez simplement choisi le grand favori. Vous parlez d'un instinct.
Anthony : J’ai parié stratégiquement.
Kate : Vous avez jugé le cheval selon son tempérament et selon les conditions de la piste pour pouvoir évaluer son vrai potentiel ?
Edwina : Tu ne trouves pas qu’il fait beaucoup plus chaud que tout à l’heure ?
Anthony : C’est un pur-sang primé.
Dorset : Nous pourrions peut être trouver des places ombragées.
Kate : Nectar a bien couru à Doncaster, mais le terrain était plus ferme, le temps était plus frais. Ainsi sa taille était un avantage. Aujourd'hui, la piste est souple et il fait chaud. Il va devoir s'employer pour avancer, il arrivera surchauffé et ralenti dans le dernier tour et il concèdera la victoire à High Flyer, une jument plus vive et plus légère.
Anthony : Vous analysez bien trop de choses.
Kate : Et vous, pas assez.
Violet : Votre invitée a attiré l'attention du vicomte, lady Danbury.
Lady Danbury : Il semble en effet que ce soit le cas. Vous comprenez bien que puisque j'ai miss Edwina comme protégée, je dois rester neutre tant qu'elle n'a pas fait son choix.
Violet : Bien sûr.
Lady Danbury : Mais en tant qu'amie, je vous dirai qu'il peut y avoir un obstacle sur la route de votre fils. La sœur aînée est arc-boutée contre ce mariage. Il semble que miss Edwina désire un mariage d'amour et le vicomte n'en veut clairement pas.
Violet : Je vois.
Lady Danbury : Peut-être que miss Edwina changera d'avis.
Violet : Peut-être que le vicomte aussi.
Lady Danbury : Hmm.

Lord Lumley revient avec deux verres de limonade et en tend un à Edwina. Avec aplomb, Anthony tend la main et prend le deuxième.

Lord Lumley :  Toutes mes excuses pour cette attente.
Dorset : Aucune importance. Lord Bridgerton s'est employé à nous divertir.
Lord Lumley :  Je n’ai pas de doute là-dessus.
Kate : Il y a une place pour vous, monsieur.

La course est partie, tout le monde est debout et crie des encouragements. Kate siffle même, comme un garçon.

Anthony : Allez, vas-y, Nectar !
Kate : Allez, High Flyer !
Anthony : Allez !
Kate : Régulier, attaque ! Plus vite, High Flyer !
Anthony : Avance !
Dorset : Il faut peut-être les séparer ?
Edwina : C'est de bonne guerre. Je crois.
Lord Lumley :  Hooo ! Je m'amuse comme un fou.
Kate : Oui !
Anthony : Plus vite !
Prudence : On a gagné !
Portia : Prudence ! Ne hurlez pas comme une poissonnière.
Jack : Laissez-la s'amuser. On a tous gagné aujourd'hui.
Kate : Je dois l'avouer, c'est la première fois que je gagne contre un vicomte. Vous battre est réjouissant, comme toutes les victoires, mais celle-ci a une saveur particulière.
Edwina : Kate, Nectar ne te rappelle pas ce beau cheval que j'adorais tant ? Tu vois lequel ?
Anthony : Prenez mon bras. Nous irons le voir.
Lord Lumley :  Excellente idée.
Dorset : Miss Sharma, j'aimerais savoir. Pourquoi étrillez-vous lord Bridgerton ?
Kate : Si le vicomte a des intentions sérieuses envers ma sœur, je crois de mon devoir de le mettre à l'épreuve.
Dorset : Le vicomte a horreur de perdre. Il ne le supportait pas déjà à l'époque d'Oxford. Oh… Miss Sharma, je…
Kate : Le vicomte et vous, vous vous connaissez depuis Oxford ? Pas depuis tout à l’heure ?
Dorset : J'en ai trop dit, pardon.
Kate : Oh vous allez m'en dire plus, et immédiatement.
Dorset : Il pensait que vous m'auriez mal jugé si vous nous saviez amis, mais je vous assure que mon intérêt à votre égard était authentique et pour ma part, je …
Kate : Authentique au sens où on vous a envoyé détourner mon attention pour que lord Bridgerton se rapproche de ma sœur.
Edwina : Kate, c'est affreux. Ils disent que Nectar va être envoyé à l'équarrissage.
Kate : Nous partons.
Anthony : J'ai vu des mauvais perdants, miss Sharma,  mais de mauvais gagnants, jamais.
Kate : N'adressez plus jamais la parole à ma sœur ni à moi à l’avenir.
Edwina : Que s'est-il passé ?
Kate : Il semble qu’il se jouait un jeu en parallèle aujourd'hui et lord Bridgerton a fait en sorte de m'assigner le mauvais rôle. Allons-y.
Anthony : Je ne pensais pas à mal. Je voulais seulement passer du temps avec vous.

Eloïse s’est faite conduire chez l’imprimeur.

Valet de pied : Miss Bridgerton, peut-être n'est-ce pas une décision très sage.
Eloïse : Il n’empêche que vous avez pris la moitié de ma bourse pour m'escorter.
Valet de pied : Je vais vous rendre l’argent. Cette partie de la ville n'est pas sûre pour une jeune dame comme vous.
Eloïse : Tenez, l'autre moitié. Surveillez la rue. Trop tard pour reculer.

Eloïse trouve la porte fermée, elle tape sans réponse, puis elle entend du bruit à l’arrière de la boutique. Il y a un jeune homme qui l’apostrophe.

Jeune homme : Vous cherchez qui ?
Eloïse : Dites-moi ce que vous savez d'elle.
Jeune homme : De qui ?
Eloïse : On sait que Lady Whistledown fait imprimer ici ses brochures.
Valet de pied : On le sait ?
Eloïse : Sinon, pourquoi serait-on venu ici ?
Jeune homme : Je pense que vous êtes perdue.
Eloïse : Et je pense que vous évitez ma question.
Jeune homme : Vous n'avez posé aucune question.
Eloïse : Euh… il y a quoi, dans ces brochures ?
Jeune homme : Rien pour les gens comme vous. Pour vos potins frivoles, vous n’êtes pas à la mauvaise adresse.
Eloïse : Il ne s’agit pas de … Je ne suis pas à la recherche de quelconques potins.
Jeune homme : Ha non ? Ni de renseignements sur le célibataire le plus acceptable du marché ?
Eloïse : Vos hypothèses n’ont rien de surprenant. Après tout, les femmes n'ont le droit qu'à deux sujets d'intérêt. Le mariage ou bien les commérages. Il ne vous viendrait pas dans l’idée que j’espérais trouver l'auteur des articles pour parler de sujets plus intellectuels comme, par exemple… les droits des femmes. L'exploration de leur esprit, un esprit que je discerne comme étant bien supérieur au vôtre. Et l'air hébété que vous affichez à présent est dû au fait que je sais m'exprimer et que je suis instruite ? Ou bien souffrez-vous d’une maladie dont vous devriez m’informer.

Il lui donne une brochure.

Eloïse : Ce n’est pas ce …
Jeune homme : Si les droits des femmes vous préoccupent, c’est plutôt ça que vous devriez lire. Une nouvelle vision. Des idées déconcertantes. Pas trop pour vous, j'espère ? Cela dit, si jamais je croise lady Machin chouette, je ne manquerai pas de la saluer de la part d'une fidèle lectrice.

Le mariage de Philippa et d’Albion Finch.

Prêtre : Je vous déclare mari et femme.
Mrs. Finch : C'est magnifique ! Et de songer que nous sommes une grande famille, maintenant, lady Featherington.
Portia : Oui. Quelle pensée réconfortante.
Mr. Finch : Nous devons le dire au nouveau lord Featherington. Où est le nouveau lord Featherington ?
Portia : Il est ici quelque part. Je vais le trouver de ce pas.
Mrs. Finch : Vous vous êtes assuré que la dot était payée ?
Mr. Finch : Bien sûr que je me suis assuré que la dot était payée !

Portia entre dans le bureau où Jack Featherington vérifie les comptes.

Jack : J'aurais volontiers assisté aux noces, madame, mais vous souhaitiez réduire le nombre des invités au minimum.
Portia : Quel intérêt aurait un mariage sophistiqué, monsieur, quand il y a des affaires autrement plus importantes pour lesquelles dépenser son argent ?
Jack : Si vous le dites.
Portia : Surtout avec deux autres jeunes filles à marier et donc deux dots de plus à verser.
Jack : Ma parole, c'est un véritable casse-tête. Il a fallu moins de compétences pour creuser mes mines en Amérique que pour comprendre les livres de comptes de feu mon cousin.
Portia : Pour un homme de votre fortune, régler la succession devrait se faire sans difficultés.
Jack : Cela aura une influence sur mes projets immédiats.
Portia : Quels projets ? Cela pourrait vous être utile de m'impliquer dans vos projets, monsieur. Peut-être que nous pourrions agir de concert en quelque sorte. Vous êtes nouveau ici, après tout. Il faudrait une personne pour vous tenir informé de certaines affaires.
Jack :  Oui, là-dessus, je vous rejoins, madame.
Portia : Excellent, dans ce cas…
Jack : C'est bien pourquoi je prévois de trouver cette personne au plus vite.
Madame Varley : Vos nouvelles connaissances demandent à vous voir, monsieur.
Jack :  Hé bien après tout, ça peut attendre. Allons faire honneur à Philippa.
Jack : J'apprécie beaucoup les mariages. Et vous, Mme Varley ?
Madame Varley : Oui, certainement, monsieur. Il a vraiment un sourire charmant.
Portia : Ce sourire charmant sera la dernière chose que l'on verra après qu’il aura installé une petite effrontée dans notre chambre et qu'il m'aura chassée de ma propre maison. On verra alors s'il vous plaît toujours autant.

Lady Danbury, Kate et Edwina attendent la reine.

Edwina : Pour être honnête, tu ne lui as pas laissé de choix. Tu l'as empêché de me présenter ses hommages.
Kate : Son stratagème t'a plu ?
Edwina : Non. Mais toi-même, tu disais que Appa pensait qu'il faut du courage à un homme pour tenter d’obtenir ce qu'il veut.
Kate : Appa disait aussi que la marque d'un vrai gentleman est l'honnêteté. Et manifestement le vicomte en est dépourvu.
Lady Danbury : Votre Majesté.
Charlotte : Lady Danbury. Miss Sharma. Et mon diamant. Venez. Il y a beaucoup de choses à voir.
Charlotte : On appelle ces créatures des "zèbres". Ce sont des chevaux rayés qui viennent d'Afrique, en fait. J'en attends sept de plus la semaine prochaine. L’ennui, c’est que je ne trouve pas de noms pour chacun d'eux. Après 13 enfants, je suis à court d'idées.
Lady Danbury : C'est une ménagerie exceptionnelle, Votre Majesté.
Charlotte : Elle l'est en effet. Miss Edwina.
Edwina : Oui, Votre Majesté.
Charlotte : Vous avez dû apprécier l'attention que vous avez certainement suscité en tant que diamant de la saison.
Edwina : J'en suis fort consciente, madame. C'est un incommensurable honneur.
Charlotte : Ce n'est pas un manteau facile à endosser, vous vous en rendez compte. Avoir tant de paires d'yeux fixés sur vous en permanence. Au mépris de la vérité, on bavarde. Que dis-je, on commère. On va inventer des mensonges éhontés. Une rumeur est bien souvent une épreuve difficile à endurer. Demandez à votre mère. Demandez-le-moi.
Kate : Ma sœur aspire à imiter votre illustre exemple, Votre Majesté. Votre mariage, le merveilleux amour qui vous unit au roi. Edwina désire ce même bonheur.
Charlotte : Et elle en recevra autant. Si elle sait à qui faire confiance.
Kate : Lady Danbury est notre guide indéfectible pour cette saison. Et je suis là moi aussi pour protéger ma sœur.
Charlotte : Vous m'en direz tant. Une vraie garde rapprochée. Cependant, sachez que beaucoup de fâcheux s’emploieront à le briser à des fins personnelles. Et quand ces personnes finiront inévitablement par se dévoiler, et dévoiler leurs intentions sournoises, je serais d'avis que vous me disiez qui elles sont afin que je puisse décider si elles sont dignes d'intérêt, bien entendu.
Lady Danbury : Miss Sharma, vous devriez emmener votre sœur voir le reste de ces splendides jardins.
Charlotte : Oui. Les casoars se trouvent de l'autre côté du pont. Soyez prudentes, ne vous approchez pas trop. Ils sont de méchante humeur.
Lady Danbury : Quelque chose me dit, madame, qu'un certain nombre d'intentions sournoises sont à l'œuvre ici.
Charlotte : Cela se voyait tellement ?
Lady Danbury : Vous cherchez à démasquer lady Whistledown avec l'aide de votre diamant. La chroniqueuse tentera de l'approcher et quand elle le fera, Votre Majesté l'attendra au tournant. Avez-vous choisi miss Edwina dans ce dessein au départ ? Quelqu’un qui n’était pas là la saison dernière ?
Charlotte : Par conséquent, je pouvais lui faire confiance, oui.
Lady Danbury : Hmm.
Charlotte : Lady Danbury. Ne faites pas votre scandalisée. Vous êtes friande de ce genre de frivolités presque autant que je le suis.
Lady Danbury : Cette saison est différente.
Charlotte : Vous acceptez peut-être de gâcher votre plaisir, ma chère, mais je vous interdis de me gâcher le mien. Laissez-moi vous montrer où je loge mon éléphant.

Anthony, Colin et Benedict s’entrainent à l’escrime.

Anthony : Elle est présomptueuse et arrogante et elle est sûre de savoir gérer le mieux toutes les situations.
Benedict : Elle a l'air terriblement ennuyeuse. D’autant que c'est toi celui gère le mieux toutes les situations.
Colin : Et qui es le vainqueur de tous les duels aujourd'hui.
Anthony : Moins de parlote et plus d'escrime veux-tu ?.
Colin : Bonne chance.
Benedict : Allons-y.
Anthony : Tu sais pourquoi je gagne à chaque fois ?
Benedict : Parce que si tu perds, tu nous accuses d'avoir triché.
Anthony : Parce que je connais mes devoirs, les buts que je poursuis et comment les obtenir. Et j'obtiendrai ce que je veux en faisant de miss Edwina ma vicomtesse. Nous sommes bien assortis. C'est une jeune fille adorable et elle veut des enfants. Elle fera une épouse des plus agréables.
Benedict : Autrement dit, il a déjà disqualifié toutes les autres jeunes filles de la ville.
Colin : Tu te mets trop de pression sur les épaules. Ta vie serait plus facile si tu évitais de courtiser quelqu'un dont la sœur est une mégère.
Anthony : Pourquoi serait-ce à moi d’admettre la défaite ? Quelle que soit la jeune fille que j'aurai choisi de courtiser, il y aura toujours un père obstiné ou une tante fouineuse dans le tableau. je ne laisserai pas une quelconque sœur, et plus jeune que moi qui plus est, m'empêcher d'obtenir ce que je veux.
Benedict : Qui tu veux, tu veux dire ?
Colin : Est-ce toujours un duel amical ou doit-on porter une armure ?
Anthony : C'est ce que tu ne comprends pas, Colin. Benedict me respecte en ne me ménageant pas. Comme moi, je le respecte. Regarde.
Benedict : Yah ! Tu parles de respect.
Anthony : Merci, messieurs, pour l'effort tonifiant. Et maintenant, je vais m'assurer de ma victoire finale de la journée. Croisez les doigts.

Chez Lady Danbury

Edwina : Ça s'appelait des zèbres, d'après la reine.
Lady Mary : C'était donc une visite plaisante ? Je suis navrée de ne pas avoir pu y assister.
Kate : Ho Je suis certaine que ce n'est pas la dernière fois que nous serons invitées au palais. Sa Majesté a semblé vraiment séduite par Edwina, ne trouvez-vous pas, lady Danbury ?
Lady Danbury : J'avais envisagé une soirée, ce soir même, pour que miss Edwina puisse apprendre à mieux connaître ses nombreux soupirants. Je veillerai à tout.
Edwina : J'en serai ravie.
Kate : Il faudra être judicieuse dans le choix des invités. Excusez-moi.

Elle regarde par la fenêtre puis descend dans la cour où Anthony est arrivé avec un cheval.

Anthony : Brave bête.
Kate : N'ai-je pas été assez claire ?
Anthony : J’apporte un cadeau à miss Edwina.
Kate : Emportez votre cheval de Troie ailleurs monsieur.
Anthony : Je vous assure, miss Sharma, celui-ci est un vrai cheval. Il est vivement déconseillé de grimper dedans.
Kate : Au fond, tout ceci n'est qu'un jeu pour vous.
Anthony : Je ne suis pas venu m'amuser.
Kate : Alors, qu'était M. Dorset sinon une farce trompeuse ?
Anthony : Cette affaire avec monsieur Dorset était moins trompeuse que vous ne l'imaginez.
Kate : Vous remettez en question mon jugement ?
Anthony : Vous remettez en question le mien ?
Kate : Je n'ai jamais rencontré un homme aussi présomptueux et sans vergogne.
Anthony : Vous ne me connaissez pas !
Kate : Vous avez de belles manières, vous êtes rigoureux et vous faites des promesses sans avoir même prononcé un mot. Je crois n’avoir pas besoin d'en savoir plus.
Anthony : Tenez.
Palefrenier : Merci, monsieur.
Anthony : Vous me reprochez encore ce que vous avez entendu sur la terrasse ? Vous agissez comme si j'étais un bandit. Alors que toutes les femmes à Londres aspirent au genre de mariage que je peux offrir. Et vous le savez, vous avez été parfaitement claire sur ce que vous souhaitiez et sur ce que vous ne souhaitiez pas. Mais il faudrait vous demander si en fait, ce mariage n'est pas ce que votre sœur désirerait.
Edwina : Lord Bridgerton.
Anthony : Miss Edwina. Je vous apporte un petit cadeau en souvenir de nos bons moments aux courses hier.
Edwina : Oh. Le cheval est pour moi ?
Anthony : J'ai cru que vous aimiez les animaux.
Edwina : Oui. Mais plutôt de ceux que je câline quand ils grimpent sur mes genoux.
Anthony : Ah. Toutes mes excuses. Vous aviez mentionné le fait que Nectar vous rappelait une bête que vous aimiez tant, hier au ...
Kate : Le cheval en question est un personnage de roman. Un roman d'amour, en fait. Et ma sœur est passionnée de ce genre de livres.
Edwina : Je suis touchée, monsieur. Ce cheval est un geste d'une grande générosité.
Kate : Viens, Edwina. Nous sommes attendues.

Benedict se rend au club ouvert par Mondrich.

Mondrich : M. Bridgerton ! Bonsoir, votre présence m'honore.
Benedict : Tout l'honneur est pour moi, M. Mondrich. L'endroit est extraordinaire. Cela dit, j'arrive peut-être trop tôt.
Mondrich : Avec le temps, il y aura plus de monde, naturellement. Il y a une rumeur comme quoi vous même vous êtes un artiste.
Benedict : Oh. Je… barbouille.
Mondrich : Dans ce cas, vous devez rencontrer M. Cruikshank. C’est un illustrateur de talent qui a beaucoup de relation parmi les artistes et les marchands d'art.
Benedict : Je suis toujours ravi de rencontrer des personnes talentueuses.
Mondrich : C'est précisément ce qui rend mon établissement différent, Bridgerton ! Je sais que vous et vos frères vous sentez chez vous dans des établissements comme le White, mais chaque honnête homme, quel que soit son titre, son rang, ou son occupation, est bienvenu chez moi.
Benedict : Je veux vous dire monsieur Mondrich, je suis vraiment heureux de voir le raffinement du club que vous avez bâti à la sueur de votre honnête labeur. Bravo.

Chez les Bridgerton.

Colin : L'éducation canine ?
Violet : Oui. Vous avez peut-être un ami qui trouve ce domaine digne d'intérêt.
Colin : Mère, vous vous sentez bien ?
Eloïse : Non. Je crains que non.
Anthony : On ne m’a pas dit qu'il y avait un bal ce soir.
Violet : Une soirée, plutôt. Vous n'avez pas reçu votre invitation par le valet de lady Danbury ? 
Anthony : La soirée a lieu dans sa demeure. Et miss Sharma aime à m'accuser de duperie.
Violet : Qui l'en blâmerait ?
Anthony : Pardon ?
Violet : Elle veille sur miss Edwina. Elle espère lui trouver l'âme sœur. Et avec vous qui affirmez si franchement votre dédain pour l'amour… Les prétendants de miss Edwina auront à cœur de choisir leurs mots avec précaution ce soir. Certains vont lire de la poésie, je crois. Il y a une leçon à en tirer quelque part, Anthony. J'espère que cette fois, elle vous servira. Venez.

La soirée chez Lady Danbury. Chaque prétendant démontre son talent.

Kate : Au moins, ce sont les hommes qui se rendent parfaitement ridicules, pour une fois.
Eloïse : C’était votre idée ?
Kate : J'aimerais en avoir le mérite, mais non. Lady Danbury a suggéré que les poètes lisent leur vers. Ces messieurs grâce à leur esprit de compétition ont concocté le reste de cette bouffonnerie tout seuls.
Eloïse : Rien d'étonnant.
Mary : Bravo. (On entend un rire forcé)
Kate : Vous êtes la sœur du vicomte je crois ?
Eloïse : L'une d'elles. Mais croyez bien que je n'y suis pour rien.
Kate : Le fait que le vicomte soit votre parent me ferait presque l'apprécier davantage.
Eloïse : Il ne faudrait pas lui accorder trop de crédit non plus n’est-ce pas ? C'est quoi, ça ?
Lady Danbury : Merci. Merci. Et si nous faisions une pause ?
Edwina : Quelle belle robe.
Pénélope : Merci.
Edwina : La vôtre me plaît beaucoup.
Pénélope : Vous avez le sens de l'humour.
Edwina : Non, je n'oserais jamais … Elle me plaît beaucoup. Elle est vraiment belle.
Pénélope : J'ai fini par me lasser de la couleur.
Edwina : Oui, je le conçois. Quoi que je pense, en vérité, que la couleur importe peu. Mais c'est comment on la porte. Vous la portez bien, miss…
Pénélope : Pénélope Featherington. Excusez-moi.

Elle rejoint Colin

Pénélope : Alors, qu'allez-vous faire ce soir ? Une chanson ? Une gigue ? Ou comptez-vous peut être révéler au monde un talent caché au cerceau ?
Colin : J'ai bien peur de n'être qu'un simple spectateur.
Pénélope : Que d'intérêt témoigné à une jeune fille que personne ne connaît.
Colin : Pas de passion pour le mystère, Pen ?
Pénélope : Moi ? Non. Je m'empresse de lire le dernier chapitre en premier. À propos de mystères, vous devez me révéler le nom de cette jeune dame rencontrée pendant votre voyage.
Colin : Je ne comprends pas.
Pénélope : Vous avez mentionné aux courses que vous n'étiez jamais seul. J'avais donc supposé… Peu importe. Regardez. Il y a vraiment un champion de cerceau ce soir.
Colin : Vous avez raison. Je n'étais pas vraiment seul lors de mes voyages. Je me suis mis à converser vraiment avec quelqu'un que je connais depuis fort longtemps. Et pourtant, après ce qu'il s'était passé avec miss Thompson, je me suis rendu compte que je ne connaissais pas vraiment cette personne. Moi-même.
Pénélope : Vous-même ?
Colin : C'est grâce à vous. Vos lettres étaient si encourageantes. Oui, je me disais : Si Pénélope me voit de cette façon, alors, j'y arriverai aussi. J'étais seulement… trop distrait par miss Thompson. Alors, j'ai fait le vide dans ma tête, renoncé aux femmes et à l'amour. Et au fond, ce que je voulais, c’était comprendre qui je suis avant de reprendre ma place dans le monde.
Pénélope : Vous avez renoncé aux femmes alors ?
Colin : Oui, pour le moment.
Pénélope : Moi, je suis une femme.
Colin : Vous êtes Pen. Je ne vous compte pas. Vous êtes mon amie.
Pénélope : Bien sûr. Votre amie. Ravie de l'entendre.

Il s’en va et la laisse seule.

Lady Cowper : Merci.
Cressida : Oui, je le trouve très élégant aussi.
Lady Cowper : Le nouveau lord Featherington est sans doute un homme de goût.
Portia : Lady Cowper. Miss Cowper. Quel collier exquis vous avez là. Une largesse du nouveau lord Featherington ?
Lady Cowper : Il n'a rien dit de ce cadeau ? Il nous a rendu visite aujourd'hui.
Portia : Je n'ai pas dû y faire attention. J'étais trop occupée avec le mariage de Philippa et tout le reste.
Lady Cowper : C'est un geste très généreux, je trouve non ? Je me demande ce qu'il signifie.
Portia : Il ne signifie pas grand-chose. Le nouveau lord est très prodigue de cadeaux, j'avoue que j’ai bien du mal à suivre.
Lady Cowper : Oui. Venez, ma chérie.
Jack : Bonsoir, miss Cowper.

Au Club de Mondrich.

Benedict : J'ai vu Gerard qui peignait. C'était merveilleux.
George Cruikshank : Une authentique vision.
Benedict :  Et vous affirmez que Gerard, Leighton et Turner ont tous étudié à la même académie ?
Cruikshank :  Absolument et il y a une place vacante, d’après ce que je sais. Si vous songez sérieusement à la peinture, c'est là-bas qu'il faut être.
Anthony (qui fait irruption) : Benedict. J'ai besoin de toi.
Benedict : Je suis en pleine conversation.
Anthony : Je t’attends dehors. Rejoins-moi.
Benedict : Excusez-moi.
Anthony : J'ai besoin que tu m'apprennes à bien lire ces vers à haute voix.
Benedict : Du Byron ? Je t'ai frappé plus fort que je ne croyais.
Anthony : "Il est un plaisir sûr - Dans ces bois sans chemin… "
Benedict : Oh.
Anthony : "Il est un enchantement dans cette … " Comment le dire pour qu'il sonne bien ?
Benedict : J’ai bien peur que ce ne soit pas possible. Ce poème est l'un de ses plus mauvais. Un défi au bon sens.
Anthony : Pourtant, je croyais que ce genre de choses te procurait beaucoup de plaisir.
Benedict : La poésie, oui. Byron, grand Dieu, non.
Anthony : Tout le monde n'est pas sensé aimer Byron ?
Benedict : Beaucoup de mes camarades à Cambridge trouvaient ma poésie bien supérieure à la sienne.
Anthony : Cela signifie que la tienne est plus mensongère ou moins ?
Benedict : Mensongère ? La poésie est l'opposé, mon frère. Elle est l'art de révéler une vérité précieuse avec des mots.
Anthony : Ah. Ça tombe sous le sens. Tu es sérieux ?
Benedict : Mm-hmm.
Anthony : Grand Dieu. Bonsoir.
Benedict : "Qu'est-ce donc en vérité qu'admirer une femme ? La regarder et se sentir inspiré ? Se ravir de sa beauté. Au point que le mur de vos défenses s'effondre, que vous endosseriez volontiers toutes les peines, tous les fardeaux pour elle, pour honorer cet être de lumière par vos actes et vos mots". Voilà ce que le vrai poète décrit mon frère.
Anthony : Tu devrais faire des vers plus souvent. Note-les-moi tout de suite.

Chez Lady Danbury.

Lord Lumley : "Et courant sur cette joue et ce front si doux, si calme, éloquent pourtant Le sourire triomphant. Les teintes scintillantes qui parlent de jours de douceur et de bonté. Un esprit en paix, une âme lumineuse. Un cœur dont l'amour est tout innocence."
Lady Danbury : Je tiens à remercier tous ces messieurs pour la splendide démonstration de leurs talents ce soir. Un moment exceptionnel que vous n'oublierez pas de sitôt.
Anthony : Pardonnez-moi. Lady Danbury.
Lady Danbury : Lord Bridgerton, je ne vous attendais plus ce soir.
Anthony : Il y avait une omission sur la liste d'invités. Vous n’auriez pas privé un jeune homme que vous connaissez depuis 29 ans du plaisir de votre compagnie ?
Lady Danbury : Ho, mais…
Anthony : Et votre valet de pied à la porte d’entrée non plus.
Kate : Navrée, vicomte. Une fois de plus vous êtes en retard. Nous allions mettre un terme à cette soirée.
Anthony : J'ose croire que miss Edwina à le temps de m'écouter. J'ai passé la soirée à écrire des vers de ma plume. Est-ce que vous souhaitez les entendre ? Tout le monde souhaite les entendre ?
L’assemblée : Oui - Oui, vicomte. - Allez-y, lord Bridgerton.
Anthony : Hmm. "Qu'est-ce donc… d'admirer une femme ? La regarder et se sentir inspiré. Se ravir de sa beauté au point que le mur de vos défenses s'effondre, que vous endosseriez volontiers toutes les peines tous les fardeaux pour elle pour honorer… pour…" Pardonnez-moi, je ne peux pas continuer. Je ne peux prétendre que ces mots sont les miens, ils sont de la main d'un autre. La vérité, c'est que je ne suis pas… doué pour la poésie. Et ces mots flatteurs sont certes très beaux et doux à l'oreille, mais ils sonnent creux aussi s’ils ne sont pas accompagnés d'action. Miss Edwina, je pourrais me présenter devant vous en prétendant être quelqu’un d’autre et souhaiter les mêmes choses que vous. Ce serait mentir. Je suis peut-être incapable de… d'offrir les démonstrations de passion que vous êtes en droit d'attendre. Mais je peux vous assurer que lorsqu’il s'agit d'action et de devoir, jamais je ne serai pris en défaut. Et j'espère que cela parlera plus en ma faveur que tous les mots aimables le pourraient.
Kate : Tu as entendu cela, ma sœur ? Il ne te donnera pas l'amour que tu mérites.
Edwina : Cela fait-il de lui un mauvais homme ou un honnête homme, Kate ? C'est la marque d'un vrai gentleman, comme Appa nous le disait. Non ?

Elle rejoint Anthony qui lui offre un verre de limonade.

Edwina : Merci… C'est délicieux.

Kate ne peut supporter cette victoire d’Anthony et part dans sa chambre où Lady Danbury la rejoint.

Lady Danbury : Vous devriez retourner à la réception.
Kate : Je vais y retourner dans un moment.
Lady Danbury : Il va sans dire que le vicomte vous irrite au plus haut point. Il est parfois exaspérant.
Kate : Il est incorrigible. Il n'est pas pour ma sœur. Et je ferai en sorte qu'elle s'en rende compte d’une manière ou d’une autre.
Lady Danbury : Un petit conseil, miss Sharma ? Lorsque nous nous sentons frustrées, il est souvent plus sage de s'employer à satisfaire nos propres besoins. Nos tentatives d'influencer les autres quant à la bonne marche à suivre s'avèrent trop souvent des efforts tant agaçants qu'éprouvants et qui font ressortir le pire en nous avant que l'on découvre qu'ils ont été infructueux tout du long.
Kate : Oui, j'ai bien conscience de m'être rendue ridicule ce soir Lady Danbury. Je ne tiens pas à l'entendre de votre bouche. En fait, je ne tiens à l'entendre de personne. Cela m'est bien égal ce que tout le monde ici pense de moi. Une fois qu’Edwina sera mariée, je rentrerai chez moi seule, trop heureuse de ne plus remettre les pieds dans cette ville que j'exècre.
Lady Danbury : Vous avez encore beaucoup à apprendre et tout cela est bien beau. Mais d'abord, je trouve non seulement affreusement affligeant, mais aussi une injure à la vérité, de vous entendre dire que vous désirez vous retrouver seule à seulement 26 ans.
Kate : Ne soyez pas si étonnée. Je vais devenir gouvernante. Je serai satisfaite de savoir ma sœur entre de bonnes mains.
Lady Danbury : Satisfaite ?
Kate : Êtes-vous si malheureuse, madame ?
Lady Danbury : Je vous demande pardon ?
Kate : Vous-même, n'êtes-vous pas seule ? Je vous observe et je le vois, vous êtes plus que satisfaite.
Lady Danbury : Parce que j'ai la chance d'avoir profité de la vie. Je suis veuve. J'ai aimé avec passion. J'ai perdu l'être cher. J'ai gagné le droit de faire ce qui me plaît, quand cela me plaît, et de la manière qu'il me plaît de le faire. Mon enfant, vous n'êtes pas moi. Et soyez sûre que si vous continuez dans cette voie, je peux vous l'assurer, vous ne le deviendrez jamais.

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Il y a deux choses qui se cachent dans les rues sombres et ombragées de notre belle ville. La vermine et les secrets. Je vous laisse seuls juges, chers lecteurs, de ce qui fait le plus de mal. On doit se demander quels secrets chers à son cœur miss Edwina, le diamant de la saison, garde-t-elle par-devers elle. Et avec qui choisira-t-elle de les partager. Le vicomte Bridgerton, peut-être ? En tout cas, l'opinion de l'aînée des Sharma sur le sujet n'est certes plus un secret pour personne.
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Chez les Bridgerton.

Pénélope : Si vous êtes aussi contrariée par la manière dont lady Whistledown écrit, vous devriez peut-être cesser de la lire.
Eloïse : Elle a fini par se trahir.
Pénélope : Enfin, quoi ? Éloïse.
Eloïse : Je ne voulais pas vous le dire, parce que… D'abord, j'étais embarrassée et j'ai cru que j'avais tort. Je suis passée voir son imprimeur hier.
Pénélope : Eh bien ? Avez-vous parlé avec quelqu'un ?
Eloïse : Ça n'a pas d'importance. Écoutez. Non seulement les papiers d'impression sont identiques mais les lettres K sont légèrement déformées exactement de la même façon. Nul doute qu’il ne s'agit pas d'une autre coïncidence.
Pénélope : Et bien, il faudra être attentives. Si dans le prochain Whistledown, il y a le même défaut, nous saurons que cet imprimeur est le sien.

Le lendemain, au marché.

Pénélope : Une lettre K neuve pour une presse Stanhope.
Marchand :  Voilà. Ça vous fera dix pence.
Pénélope : Je vous en donne cinq.
Marchand :   Cinq, c'est un prix spécial pour mes clients, les habitués.
Pénélope : Crois-moi, l'ami, tu serais bien embêté que je revienne souvent. Allez, fais-moi un rabais et je promets de ne pas revenir me plaindre.
Geneviève Delacroix : Miss Pénélope ?

Pénélope s’enfuit en courant.

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Pour être juste, il faudrait reconnaître que votre chroniqueuse n'est pas avare s'agissant de partager ses secrets. Car qui d'autre pourrait se vanter de vous tenir tous si bien informés ?
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Brimsley : Je les ai, Votre Majesté.
Charlotte : Et vous êtes certain que ce sont les jeunes filles avec lesquelles notre diamant a conversé dernièrement ?
Brimsley : Oui, Votre Majesté. Et si notre théorie est correcte, cette lady Whistledown se trouve parmi ces portraits.
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Comme quoi même les secrets les mieux gardés finissent toujours par être révélés au grand jour.
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Charlotte étale les portraits sur la table. Sur le dessus, Miss Goring, Eloïse Bridgerton et Pénélope Featherington.

2.02 - Jour de courses

Lady Whistledown : Dearest reader.
It has been said that competition is an opportunity for us to rise and stand ready before our greatest of challenges. Well, if what this author hears this morning is true, then a great challenge concerning this season’s diamond has been set forth, indeed. Any suitor wishing to gain an audience with Miss Edwina Sharma must first tame the rather prickly spinster of a beast otherwise known as her sister. .

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Danbury house.

Lady Danbury : Lord Lumley. At the top.
Edwina : Is he not something of a dandy ?
Kate : I would use the term "gallant".
Mary : Is that what you look for, Edwina ?
Edwina : If Kate believes in him, so do I.

Bridgerton house.

Benedict : Miss Sharma.
Anthony : Miss Edwina Sharma. Not the sister. Miss Edwina will suffice.

Danbury house.

Lady Danbury : I see you’ve left off lord Bridgerton.
Mary : Oh, now, he is what Edwina is looking for.
Lady Danbury : An oversight on your part, my dear ?
Kate : Lord Bridgerton is quite adept at conveying false first impressions.
Lady Danbury : What did you hear ?
Kate : He stated rather clearly that he seeks a wife only to fulfill his duty and does not believe in love at all.

Bridgerton house.

Anthony : It is only out of the greatest love of my family that I aim to choose a bride with my head and not my … heart.

Danbury house.

Lady Danbury : And you find this unusual ? Most marriages of the ton are, in fact, mère matters of business, my dear. Matters that have been working for centuries. It is the true love match that is quite rare.

Bridgerton house.

Benedict : Does Miss Edwina return your affection ?
Anthony : Not yet. She would have done if it were not for … the sister.
Benedict : She’s rather thorny, I take it ?
Anthony : Indeed.

Danbury house.

Kate : You know what it is you are looking for, Bon. You must not forget it. Lord Lumley will turn the viscount into a distant memory. I am certain.

Bridgerton house.

Anthony : Though she need not trouble me. Every rose does have its thorn, after all.

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Lady Whistledown : … Of course, the only competition that compels my attention is the game of courtship. So best of luck to this year’s players. Do try not to stumble on the starting line.  …
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Danbury house.

Lord Lumley : Lany dismiss Blake’s work as childlike, insubstantial …
A courtier :
Miss Sharma, am I to be kept at this threshold all day ?
Second courtier : Lumley’s already had an inordinate amount of time with her.
Kate : That is because my sister is so enraptured with him at the moment. You wouldn’t want me to interrupt your discourse when it is your turn, would you ?
Anthony : I say we heed the young lady and wait with the grace our hostess affords us.
Kate : Thank you, Lord …
Anthony : Bridgerton.
Kate : I’m afraid you are much too late, my lord. You now find yourself at the back of a very considerably long queue ?
Anthony : I wish to escort Miss Edwina to the races this afternoon.
Kate : My sister already has an escort this afternoo.
Anthony : Tomorrow then. ?
Kate : She’s engaged tomorrow too.
Anthony : And the day after ?
Kate : Now that I think of it, she may be free … after December. Unless, of course, she is on her honeymoon by then. Did I say something funny ?
Anthony : I believe you did.
Kate : What is funny, my lord, is you here now, after what I overheard the other night …
Anthony : That was not for your ears.
Kate : But also, in addition to everything I have now read of you, your dubious and libertine reputation goes before you.
Courtiers :
- No intrusions, Bridgerton ! End of the queue !
- Yes, that’s right !
- Yes !

Bridgerton house.

Pénélope : Is that a copy of lady Whistledown ?
Eloïse : It is.
Pénélope : I thought we were done with her.
Violet : Do not discourage her, Penelope. If she has taken an interest in Lady Whistledown again, perhaps she’s interested in what she has to say about the season’s available gentlemen too.
Eloïse : I cannot think of any cleverer way to say this, but no. Her latest is not exactly the philosophical treatise on the rights of the fairer sex I was hoping for, but …
Pénélope : I do not think Lady Whistledown has changed her style of writing since her last issue.
Eloïse : Perhaps not. But perhaps she still can. 
Pénélope : Perhaps she does no want to. Perhaps she is quite content. And if she’s even sparked your renewed interest, El, then perhaps whatever she is doing is working.
Eloïse : Yes, but she could do so much more. I know I could convince her of it. If I were to find her this time.
Violet : What you must find, my dear, is happiness. Penelope, assist me here. Eloise could find that with someone else, could she not ?
Pénélope : I believe she could. And not Lady Whistledown, but someone more like … Colin…
Eloïse : My brother ?
Pénélope : No, not Coli … Colin !
Colin : Glad to see things have not changed.
Eloïse : Brother !
Violet : Colin !
Colin : Could you set aside the latest family squabble and embrace me ?
Violet : I did not expect you to return so soon, dearest.
Colin : Well, I missed you all. What can I say ?
Hyacinthe : Brother !
Gregory : Brother !
Benedict : I believe we must get you to the doctor post-haste. This strange, fuzzy growth on your chin is some kind of disease.
Francesca : And you seem to have taken to the sun too. How peculiar.
Pénélope : I think he looks distinguished.
Hyacinthe : I’m now two inches taller than Gregory.
Gregory : You are not.
Colin : And where, may I ask, is our intrepid viscount ?
Violet : He is … back from courting already.
Anthony : Colin ! You are returned. Even better. Family, I should like you all to ready yourselves for the races today. We will be attending, united as one.

Featherington house

Madame Varley : I told hi mit would never do, ma’am, but he insisted.
Pénélope : Is that Cousin Jack’s ?
Portia : Cousin ? Is that what he asked you to call him ?
Pénélope : Are you bothered by him, Mama ?
Portia : Of course not. The new Lord Featherington has come to shower us with many riches indeed. If we must endure a few … dubious style choices in return, along with some rather questionable matters of breeding, then so be it.
Madame Varley : I also hear he wishes to convert the morning room into his own personal gaming hell.

Jack : Aaah, now, that looks splendid. Livens up the place, yes ?
Portia : It is a happy addition, my lord. Though, perhaps happier in your own bedchamber.
Pénélope : Have you shot them all, cousin Jack ?
Jack : Every weapon here has a splendid history and is worthy of interest, Penelope. I shall have to fill you in on all of my adventures one day. Now, ladies, run along and get dressed. We head to the Royal Races today.

Ascot - Royal Races.

Philippa : It will be an intimate ceremony. But Mr. Finch said he wished for nothing to distract from his bride, if you can believe it. ?
Prudence : I certainly cannot. Can you, Pénélope ?
Pénélope : Have you seen the Bridgertons ?

Lord Lumley : It is a marvel you love littérature as much as I do. Do you enjoy Byron ?
Edwina : I have read some, my lord. Though I believe myself a novice when it comes to peotry.
Kate : How fortunate to have found such a well-versed teacher in Lord Lumley, then..
Lumley : Many find poetry a flat medium. Words read silently from a page. But I believe it is meant to be read aloud like music. Here, I carry a small pocket copy of my favorites with me wherever I go.
Dorset : Lady Danbury, I would be so honored if you could facilitate a proper introduction. I fear my calling card got lost in the shuffle at your home this morning.
Lady Danbury : Of course. Mr. Thomas Dorset, allow me to introduce Miss Sharma and Miss Edwina Sharma.
Dorset : A pleasure.
Kate : I am afraid my sister already has an escort for today, Mr. Dorset.
Dorset : That is very well. Though I was hoping to speak with you. How are you finding the season, Miss Sharma ?
Kate : It is a season. Mr. Dorset, I really should …
Dorset : London is a far cry from Bombay. It is where you traveled from yes ?
Kate : Yes.
Dorset : I have visited. It is a wondrous place. You must miss it dearly.
Kate : Oh, every minute of every day. But most especially at teatime. We should find our seats.  
Dorset : Allow me to join you. ?

Will Mondrich : Bridgertons !
Benedict : Mr Mondrich. It appears retirement suits you well.
Alice Mondrich : If only he were retired.
Colin : Are you planninbg another foray into the ring ?
Mondrich : Into business, in fact. I am opening a gentlemen’s club. Set to rival even the select haunts on St. James’s, if we are fortunate.
Anthony : You do know we have all been members of White’s since birth.
Mondrich : Our grand opening is tomorrow night. You’re all invited …
Anthony : Apologies. If you will excuse me.
Benedict : Tell me, Mr. Mondrich. I wouldn’t mind some stimulation.

Violet : Just look at your brother. The social season frustrated him at first too, but now it seems this Miss Edwina has quickened his interest and pleasure in courtship. I only mean to say, Eloise, that we must be willing to look to find the partner that will excite us.
Eloïse : So dance with a bevy of frogs, and one of them might turn out to be a prince ?
Violet : If that’s what you must do. Your father, you know … Are you listening to me ? What do you have in your hand ?
Eloïse : Nothing, Mama. It is only a pamphlet on new methods for the tidying of dogs, apparently. Well, a lady is allowed her hobbies, is she not ? Thank you.

Kate : M. Dorset, you travel widely, then ? And continuously, it seems.
Dorset : Well, for my studies. I find medicine particularly fascinating.
 Edwina : The helping of others is a noble interest, indeed. Mr. Dorset is much like you in that regard, Sister.
Kate : Edwina, have you spoken to Lord Lumley of his interests at all ?
Lord Lumley : Lord Bridgerton !
Anthony : Miss Sharma. Miss Edwina. Lumley.
Edwina : How delightful to see you, my lord.
Dorset : Lord Bridgerton, allow me to introduce myself. Mr. Thomas Dorset.
Anthony : Miss Edwina, I was hoping to call on you this morning…
Kate : My sister is well aware of everything …
Anthony : … but promised my family to join them for breakfast. We are exceptionally close. Break our fasts together regularly. Oh. There they all are now.
Edwina : One can tell a great deal about a man from his family, I rather think.
Kate : Yes, there are many excellent, affectionate families of the ton. Are there not ?
Lumley : Though none quite as inviting as the Bridgertons. My mother’s been wanting to enjoy another tea at Brdigerton House for some time.
Anthony : Well, we must gratify your wish, Lumley. Speaking of refreshments, I could not help but notice the ladies are without.
Kate : We are content, thank you.
Anthony : It is an unseasonably hot day, and any gentleman would make sure …
Lumley : Miss Edwina, allow me to fetch a lemonade for you.
Edwina : Oh, that would be most agreeable. Thank you, my lord.

Anthony sits in Lumley's place, between Edwina and Kate.

Anthony : Excuse me. It’s a splendid day for a race.

Colin : Pen !
Pénélope : Oh, Colin !
Colin : We did not get a chance to speak this morning.
Pénélope : We did. I said, Colin ! But, then again, it was nothing of note. I had wanted to hear more about your travels.
Colin : I thought you would’ve been bored of my travers by now. You read and replied to more of my letters than anyone else.
Pénélope : I suppose I did, though, there is always much more to say than one can put onto the page.
Colin : Pen. How have you been ?
Pénélope : Well. I have been well. And you ? Do not answer that. I know how you have been. Exploring the slopes of Mount Olympus, falconry with the Turks.
Colin : It was quite exhilarating.
Pénélope : Also lonely, perhaps ?
Colin : Well, I was never on my own, of course.
Pénélope : I see. You met someone …

Eloïse :
Pen ! I finally found you..
Pénélope : You always do.
Eloïse : You’ve been back hours, yet you are already in my way.
Colin : How I have missed you too, El.
Eloïse : I believe I have made a discovery. Whistledown’s new printer.
Pénélope : Ho, impossible.
Eloïse : To mere mortals, perhaps. I am beginning to sense my true power now. Do you notice the way this pamphlet feels ?
Pénélope : Like paper ?
Eloïse : Precisely. The paper stock is the same texture as that of Whistledown.
Pénélope : Does not all paper feel the same ?
Eloïse : Texture, weight, grain, the way the light seeps through when you hold it to the sky. Look. Yes, I must seem mad.
Pénélope : I did not say …
Eloïse : You were thinking it.
Pénélope : You seem passionate. But, El, it is likely a coïncidence.
Eloïse : That pamphlet is surely just what it appears to be.
Pénélope : Copious instructions for tending to a dog’s undergrowth, evidently.
Eloïse : Most likely. I suppose you are right.
Pénélope : Ugh. I must go and pretend to share in the joy of my sister’s impending nuptials
Eloïse : Give the soon-to-be my regards.

Eloise reads from the brochure : Chancery Lane, Printers, London 1814.

Anthony and Edwina whisper, which infuriates Kate.

Anthony : … a champion …
Edwina : … …
Oh, really ?
Kate : Lord Lumley seems to have got lost on his journey back from the lemonade stand.
Dorset : I am happy to search for him.
Kate : It was the viscount who insisted on refreshments. Perhaps he might go ?
Anthony : With the race set to begin ?
Edwina : Which one is your pick, my lord ?
Kate : Edwina !
Anthony : Nectar. Well-bred, highly trained, and well-favored.
Kate : Nectar, really ?
Anthony : Yes. I have a feeling about him.
Kate : A felling.
Anthony : Pardon me ?
Kate : You simply chose the horse everyone else has chosen. Quite a feeling.
Anthony : I made a strategic bet.
Kate : So you’ve considered your horse’s temperament, as well as the conditions of the track, in order to properly assess its true potential ?
Edwina : It is suddenly rather warm, is it not ?
Anthony : Nectar is a prize steed.
Dorset : We should find a little more shade.
Kate : Nectar ran well at Doncaster, but that was a firmer course. The weather was much cooler. Thus his size was an advantage. Today the track is soft, and it is hot, meaning he will struggle to make headway, overheat, and slow down during the final leg, giving High Flyer, a much swifter, lighter, cooler horse, the victory.
Anthony : You think too much about it.
Kate : And you, too little.

Violet : It seems your guest has caught the attention of the viscount, Lady Danbury.
Lady Danbury : It would seem so. You do understand that, as Miss Edwina’s sponsor, I should like to remain neutral until she has made her choice.
Violet : Of course.
Lady Danbury : But as your friend, I will tell you. There may be an obstacle in your son’s path. The elder sister seems set against the match. It seems Miss Edwina desires a love match, something the viscount clearly does not.
Violet : I see.
Lady Danbury : Perhaps her mind can be changed.  
Violet : Perhaps so can the viscount’s.
Lady Danbury : Hmm.

Lord Lumley : My apologies for the delay.
Dorset : Not to worry. Lord Bridgerton has been keeping us entertained.
Lord Lumley :  I am quite certain he has.
Kate : There is plenty of room, my lord.

Anthony : Yes ! That’s it, Nectar !
Kate : Come now, High Flyer !
Anthony : Yes !
Kate : Steady ! Steady ! Come on ! High Flyer !
Anthony : Come on !
Dorset : Should we separate them ?
Edwina : It’s all in good spirit. I think.
Lord Lumley : Yes, I am having such fun.
Kate : Yes !  Oh ! Yes ! Yes !
Anthony : Come on !

Portia : Prudence ! Stop hollering like a newsboy.
Jack : Let her cheer. We’ve all won today.

Kate : I must say, I have never bested a viscount before. Beating you feels the same as any other win but somehow smells sweeter.
Edwina : Kate, does Nectar not remind you of the beloved horse I used to adore ? Do you remember the one ?
Anthony : Oh, well, take my arm. I’ll take you down to see him.
Lord Lumley :  Excellent idea.
Dorset : Miss Sharma, I must ask. Why do you jab at Lord Bridgerton so ?
Kate : If the viscount is serious about courting my sister, is it not my duty to try his mettle ?
Dorset : The viscount does not like to lose. He has never stomached it, even back at Oxford. Oh. Miss Sharma, I …
 Kate : You and the viscount know each other from Oxford ? I thought you met today.
Dorset : I have said too much.
Kate : You are going to say much more this very moment. 
Dorset : He tought you’d judge me if you knew we were acquaintances. But I must assure you that my interest in you today was genuine …
Kate : Genuine in the sense you were sent here to distract me, all so Lord Bridgerton could get closer to my sister.
Edwina : Kate, it is dreadful. They say Nectar is to be sent to the knacker’s yard.
Kate : We are leaving.
Anthony : I’ve heard of a sore loser, Miss Sharma, but never a sore winner.
Kate : Do not speak to me or my sister ever again.
Edwina : What has happened ?
Kate : It seems a second game was afoot today, and Lord Bridgerton made certain I play the fool. Let us go.
Anthony : I meant no harm. I only wished to spend time with you.

At the printer.

Valet de pied : Whoa there. Whoa there. Miss Bridgerton, perhaps this is not such a wise decision.
Eloïse : Seemed wise when you took my money to escort me here.
Valet de pied : I will return it. This part of town is not safe for a young lady such as yourself.
Eloïse : Take the other half. Keep a watchful eye. No turning back now.

Young man : What’s this ?
Eloïse : Tell me what you know of her.
Jeune homme : Of who ?
Eloïse : We know this is where Lady Whistledown prints. 
Valet de pied : We do ?
Eloïse : Why did you think we were here ?
Jeune homme : I think you might be lost.
Eloïse : I think you’re evading my question
Jeune homme : You never asked me a question.
Eloïse : What are those papers ?
Jeune homme : Nothing for the likes of you. Perhaps you might get your trivial gossip from somewhere else.
Eloïse : That is not what … I am not here in search of gossip.
Jeune homme : No ? Private information about the season’s most eligible bachelor, thebn ?
Eloïse : Your assumptions are not the least bit surprising. After all, a woman is allowed to have but two interests. Marriage, or spewing slander about her peers, apparently. It’d never occur to you that I am, in fact, hoping to find the writer so that we may discuss much more intellective matters. The rights of woman. The exploration of her mind, a mind which, I can already discern, is far, far superior to yours. Is the shock you seem to be displaying at present due to the fact that I appear well-read and articulate ? Or do you suffer from some medical ailment about which I should be informed ?
Eloïse : This is not …
Jeune homme : If women’s rights are what you’re after, then perhaps that is what you need to be reading. New thoughts. Unsettling ideas. Not too unsettling for you, I hope ? Though, if I should ever see Lady What’s-her-name, I’ll be sure to let her know that her leading admirer says hello.

Featherington house.

Prêtre : I now pronounce you husband and wife.
Mrs. Finch : Oh, how wonderful. And to think, we are all one family now, Lady Featherington.
Portia : Yes. What a delightful thought.
Mr. Finch : You must tell the new Lord Featherington. Where is the new Lord Featherington ?
Portia : He is here somewhere, to be sure. Let me find him.
Mrs. Finch : You ensured the dowry was paid ?
Mr. Finch : Of course I ensured the dowry was paid !

Jack : I would’ve been in attendance, my lady, but seeing how you wished to keep the guest list small …
Portia : What use are elaborate weddings anyway, my lord, when there are so many more important matters to spend one’s money on ?
Jack : If you say so.
Portia : Especially with two more young ladies to wed and two more dowries to pay for.
Jack : My word, this is a perplexing puzzle. Apparently I needed less skill to dig my American mines than I do to understand my late cousin’s bookkeeping.
Portia : Well, surely, to a man of your wealth, settling the estate’s affair shan’t be of much concern ?
Jack : It’ll certainly make a difference to my immediate plans.
Portia : Which would be ? It may serve you well to involve me in your plans, my lord. Perhaps we may act in concert in some way. You are new to town, after all. You could use someone to keep you apprised of certain matters.
Jack : Well, in that, you are correct, my lady.
Portia : Excellent, …
Jack : Which is, indeed, why I plan on finding that someone sooner rather than later.
Madame Varley : Your new relations are asking for you.
Jack : Perhaps all this can wait. Let us go and enjoy Philippa’s day. I do relish weddings. Don’t yuou, Mrs. Varley ?
Madame Varley : Oh, certainly, my lord. He does have a pleasing smile.
Portia : That smile will be the last thing we see after he installs some beef-witted chit into our drawing room and ousts me out of my very own home. Let’s see how pleasing you find it then.

Buckingham Palace.

Edwina : To be fair, he did not exactly have many choices. You forbade him to call on me.
Kate : You think he was clever ?
Edwina : No. I think … you told me Appa always said it takes a courageous man to go after what he truly wants.
Kate : Appa also said the mark of a true gentleman is honesty. Something the viscount notably lacks.
Lady Danbury : Your Majesty.
Charlotte : Lady Danbury. Miss Sharma. And my diamond. This way. There is much to see.
Charlotte : They are called « zebra ». Striped horses from Africa, in fact. Seven more arrive next week. Thought I can’t think what to name them all. After 15 children, I seem to have run out of ideas.
Lady Danbury : It is the most spectacular menagerie, Your Majesty.
Charlotte : Indeed,it is. Miss Edwina ?
Edwina : Yes, Your Majesty ?
Charlotte : I do hope you have been enjoying the attention you have surely been receiving as the season’s diamond.
Edwina : Very much so, ma’am. It has been an exceptional honor.
Charlotte : It is not an easy mantle to take on, you realize. To have so many eyes upon you at all times. Regardless of the truth, people … nay, gossips, they will contrive shameless falsehoods. Rumor can oftentimes be a great hardship to endure. Just ask your mother. Just ask me.
Kate : My sister aspires to learn from your illustrious example, Your Majesty. Your marriage, the wondrous love you share with the king. Edwina desires the very same.
Charlotte : And she shall receive it, should she know who to trust.
Kate : Lady Danbury has been a steadfast guide for us this season. And my sister has me watching her as well.
Charlotte : An inner circle, if there ever was one. Though you must know there will be many people trying to break it apart for their own ends. When those persons inevitably reveal themselves and their rather sly intentions, I simply ask that you tell me who they are so that I may decide if they are worthy, of course.
Lady Danbury : Miss Sharma, perhaps you would like to take your sister to see the rest of these splendid grounds.
Charlotte : Yes. The cassowaries are just across the bridge. But do not veer too close. They are quite irritable.
Lady Danbury : Something tells me, ma’am, that there are quite a few sly intentions at work here. 
Charlotte : Was I so obvious ?
Lady Danbury : You seek to unmask Lady Whistledown  with the help of your diamond. The writer will assuredly seek access to her. And when she does, Her Majesty will be waiting. Is that why you chose Miss Edwina in the first place ? Someone who was not present last season …
Charlotte : Meant she was someone I knew I could trust.
Lady Danbury : Hmm.
Charlotte : Lady Danbury. Don’t appear scandalized. You relish this frivolity nearly as much as I do.
Lady Danbury : This season is different.
Charlotte : You may wish to spoil your own fun, Lady Danbury, but you shall not ruin mine. Let me show you where I house my elephant.

Bridgerton house.

Anthony : She is pompous and arrogant and quite sure she knows best in every situation.
Benedict : She sounds like a terrible nuisance. Especially since you are the one who knows best in every situation.
Colin : And the victor of every match today.
Anthony : Les stalking, more fencing. Brother.
Colin : Good luck.
Benedict : Ready ?
Anthony : Do you know why I win every time ?
Benedict : Because every time you lose, you claim we cheated.
Anthony : Because I know my duties. What my purposes are and how to obtain them. Which I will do when I make Miss Edwina my viscountess. Miss Edwina and I are well-suited. She is a lovely young lady. She wishes for children. She’ll make a perfectly agreeable wife.
Benedict : What he means to say is that he has already dismissed every other young lady in town.
Colin : You take too much upon yourself, Brother. Perhaps your life might be easier if you pursued someone with a less disagreeable sister.
Anthony : Why should I be the one to admit defeat ? Regardless of which young lady I have chosen to pursue, there would’ve always been some obstinate father or meddlesome aunt into the picture. I shall certainly not let some sister, especially one younger than me, keep me from getting what it is I want.
Benedict : Whom you want, you mean ?
Colin : Is this still a friendly match, or do we need to find some armor ?
Anthony : That is what you do not understand, Brother. Benedict honors me by holding nothing back. As I now honor he.
Benedict : Yah ! What honor.
Anthony : Thank you, gentlemen, for the bracing exertion. Now it is time for me to secure my final victory for the day. Wish me luck.

Danbury house.

Edwina : They were called zebras, I believe.
Lady Mary : So it was a pleasant visit, then ? I’m quite sorry I was unable to attend
Kate :. I am certain it is not the last time we will be invited to the palace. Her Majesty seemed quite taken by Edwina, was she not, Lady Danbury ?
Lady Danbury : I was thinking. A soiree this evening. So that Miss Edwina may get to know her many suitors rather better. I shall see to everything.
Edwina : Sounds delightful.
Kate : So long as we are judicious with our guest list. Pardon me.

She looks out the window then goes down to the courtyard where Anthony has arrived with a horse.

Anthony : Good boy.
Kate : How much clearer must I be ?
Anthony : I brought a gift for Miss Edwina.
Kate : Take your Trojan Horse elsewhere.
Anthony : I assure you, this is a very real horse. I’d not recommend trying to climb inside.
Kate : Truly, this is all a game to you..
Anthony : I’m not here to play games.
Kate : Then what was Mr. Dorset, if not some deceitful prank ?
Anthony : The business with Mr. Dorset was not so great a deceit as you imply.
Kate : And now you question my judgment.
Anthony : Only because you questioned mine. ?
Kate : I have never met a man as brazenly presumptuous … 
Anthony : You do not even know me.
Kate : I know you are polished. I know you are careful. I know you make promises without so much as uttering a word. There is not much more I need to know.
[Anthony mutters]
Groom :
Thank you, sir.
Anthony : Is this about what you heard on the terrace again ? You act as if I’m some kind of villain when every other woman in London aspires for the kind of marriage I’m offering. You must know that. You have been exceptionally clear about what it is you do and do not wish for, but has it ever occurred to you this might, in fact, be about what your sister wishes for instead ?
Edwina : Lord Bridgerton.
Anthony : Miss Edwina. I have brought you a small token to remember our fine time at the races yesterday.
Edwina : Oh. The horse is for me ?
Anthony : I thought you loved animals.
Edwina : I do. But usually the kind that can curl up on my lap.
Anthony : Ah. My apologies. You said something about Nectar reminding you of a beloved horse back at …
Kate : That horse is a character from a novel. A novel of love, in fact. Something for which my sister is an enthusiast.
Edwina : I adore it, my lord. The horse is a generous gesture, indeed.
Kate : Come, Edwina. We must return inside.

Mondrich's club.

Mondrich : M. Bridgerton ! You honor me with your presence.
Benedict : The honor’s all mine, Mr. Mondrich. The place looks extraordinary. Though, am I a little early ?
Mondrich : The crowd will increase with time, naturally. I heard a rumor that you yourself are an artist.
Benedict : Oh. I … dabble.
Mondrich : Than, you must meet Mr. Cruikshank. He’s a talented illustrator with many connections amongst artists and patrons. 
Benedict : I’m always excited to meet talented people.
Mondrich : This is precisely what makes my establishment different, Bridgerton. I know you and your brothers are comfortable at places like White’s, but every honest man, regardless of his title, rank, or occupation, is welcome to be here.
Benedict : I must say, Mr. Mondrich, I’m quite overjoyed to see what a fine establishment you’ve built by the sweat of your own honest labor.

Bridgerton house.

Colin : The tidying of dogs ?
Violet : Yes. Perhaps you have a friend who finds the subject interesting.
Colin : Mother, are you quite well ?
Eloïse : No. No, she is not.
Anthony : I was unaware there was a ball this evening.
Violet : It is a soiree, rather. Did you not receive your invitation from the Danbury footman ?
Anthony : The soiree is at the Danbury House. And Miss Sharma likes to accuse me of playing games.
Violet : Can you blame her ?
Anthony : What ?
Violet : She is looking out for her sister. She hopes to find her a love match. And with you, apparently so forthright in your disdain for such a thing … Perhaps Miss Edwina’s other suitors plan on choosing words more wisely tonight. Some are reading poetry, I hear. There is a lesson here for you somewhere, Anthony. I only hope that this time you will finally learn it. Come along.

Lady Danbury house.

Kate : At least it is the men who are making fools of themselves this time.  
Eloïse : Was this your idea ?
Kate : I wish I could take credit, but no. Lady Danbury encouraged a peotry reading. The men, thanks to their spirit and competition, concocted the rest of this farce on their own.
Eloïse : Of course they did.
Mary : Oh, yes. Marvelous.. (Lady Danbury laughs)
Kate : You are the viscount’s sister, yes ?
Eloïse : One of them. But do not hold it against me.
Kate : The fact the viscount is your relation almost makes me think better of him.
Eloïse : We should certainly not give him too much credit, now, should we ? What ? 
Lady Danbury : Yes. Yes. How about a pause ?
Pénélope : A beautiful dress.
Edwina : Oh. Thank you.. I quite like yours as well.
Pénélope : You have a sense of humor.
Edwina : No, I did not mean … I am being truthful. It is quite beautiful, indeed.
Pénélope : Well, I seem to have grown weary of the color. 
Edwina : I can understand. Though, I suppose, in truth, it is not a matter of the color, but rather how one wears it. You wear it well, Miss …
Pénélope : Pénélope Featherington. Pardon me.

She joins Colin.

Pénélope : So, what will it be for you tonight ? A song ? A jig ? Some hidden hoop-rolling talebt you have yet to share with the world ?
Colin : I’m afraid I’m just a spectator..
Pénélope : So must interest shown in a young lady whom none of us really know..
Colin : Hmm. Not a devotee of mystery, Pen ?
Pénélope : Me ? No. I am always turning to the final chapter first. Speaking of mysteries, You must tell me the name of the young lady you met while out the country
Colin : Now, what can you mean ?
Pénélope : You mentioned, at the races, you were never lonely. I only assumed … Never mind. Look. There truly is someone hoop-rolling tonight.
Colin : You are right. I was not exactly lonely on my travels. I did begin a real conversation with someone. Someone I had known for a very long time. And yet, after everything that happened with Miss Thompson, I realized I never truly knew this person at all. Myself.
Pénélope : Yourself ?
Colin : I have you to thank. Your letters were so encouraging. I thought, if Penelope can see me this way, then surely I can too. I was just so distracted by Miss Thompson. So I cleared my head, swore off women and love, and … Well, I only wanted to fully understand myself before stepping back into this world.
Pénélope : You’ve sworn off women, then ?
Colin : Well, for the time being.
Pénélope : I am a woman..
Colin : You are Pen. You do not count. You are my friend.
Pénélope : Of course. Your friend. How good to hear that.

He leaves and leaves her alone.

Lady Cowper : Thank you.
Cressida : Yes. I find it quite alluring too.
Lady Cowper : The new Lord Featherington is certainly a man of taste, is he not ?
Portia : Lady Cowper. Miss Cowper. What an exquisite necklace. Courtesy of the new lord Featherington, I hear ?
Lady Cowper : Oh. Did the lord not tell you ? He called on us just this afternoon.
Portia : I must have missed that. I was so busy with Philippa’s nuptials and everything else.
Lady Cowper : It’s quite a generous gesture, is it not ? I do wonder what it means.
Portia : It cannot mean much. The new Lord is so very generous with his gifts. It’s heard to keep up with them.
Lady Cowper : Yes. Oh. This way, my dear.

Mondrich club

Benedict : I saw that Gérard painting. It was a marvel.
George Cruikshank : A vision, in fact.
Benedict : So you are telling me that he, Leighton, and Turner all studied in the same academy ?
Cruikshank :  Indeed. And they have a vacancy, from what I hear. If you are serious about painting, I hear it is the place to be.
Anthony : Brother. I need you.
Benedict : I’m in the midst of a conversation.
Anthony : Outside, straight away.
Benedict : Excuse me.
Anthony : I need you to teach me how to read that out loud.
Benedict : Byron ? Did I strike you much harder than I realized earlier ?
Anthony : « There is a pleasure in the pathless woods. »
Benedict : Oh.
Anthony : « There is a rapture on the lon… »  How does one make that sound good ?
Benedict : I’m afraid that is not possible. That poem is the opposite of good. That’s nonsense.
Anthony : I thought this sort of thing was supposed to be your pleasure.
Benedict : Poetry, yes. Byron, heavens, no.
Anthony : Is not everyone supposed to love Byron ?
Benedict : Many in our year at Cambridge thought my poetry far superior to his.
Anthony : Does that mean yours is more or less deceitful ?
Benedict : Deceitful ? Poetry is the opposite, Brother. It is the art of revealing precious truth with words.
Anthony : Quite right, Brother. You … You’re being serious ?
Benedict : Mm-hmm.
Anthony : Good God. Good night.
Benedict : What is it, truly, to admire a woman ? To look at her and feel inspiration. To delight in her beauty. So much so that all your defenses crumble, that you would willingly take on any pain, any burben for her. To honor her being … with your deeds and words. That is what the true poet describes.
Anthony : You should apply yourself more often, Benedict. Write that down.

Lady Danbury house.

Lord Lumley : "And on that cheek, and o-er that brow, So soft, so calm, yet eloquent, The smiles that win, the tints that glow, But tell of days in goodness spent, A mind at peace with all below, A heart whose love is innocent !."
Lady Danbury : Gentlemen, thank you all for the most splendid display of your talents this evening. A momorable occasion, to be sure.
Anthony : Pardon me. Lady Danbury ?
Lady Danbury : Lord Bridgerton, I did not expect you.
Anthony : No, I seem to have fallen off the guest list. Though you’d never deny a young man you’ve known for 29 years the pleasure of your company ?
Lady Danbury : Ho,…
Anthony : And neither would your footman at the front door.
Kate : Apologies, viscount. You appear to be late again. We were bringing the evening to a conclusion …
Anthony : Surely Miss Edwina has time for one more. I spent all evening crafting something. An original. Would you like to hear it ? Would everyone like to hear it ?
Everyone : Yes. Most definitely. Viscount. Go on, then. Of course, lord Bridgerton.
Anthony : « What is it … truly to admire a woman ? To look at her and feel inspiration. To delight in her beauty. So much that all your defenses crumble, that you would willingly take on any pain, any burden for her. To honor … » My apologies. I cannot do this. I cannot claim these words as my own. They are someone else’s entirely. Truth be told, I’m not … I’m not a man of poetry. Words of flattery are beautiful and sweet, but they are also hollow unless accompanied by action. Miss Edwina I could stand here and pretend to be someone I am not. I could pretend to want the very same things as you, but I’d be lying. I may not be able to … offer the display of passion that you truly deserve. But I assure you that when it comes to action and duty … I shall never be found lacking. And I hope that is what will speak louder than any pretty words ever can.
Kate : Did you hear that, Bon ?. He cannot give you the love you deserve.
Edwina : Does that make him a bad man or an honest one ? It is the mark of a true gentleman, just as Appa used to say. Yes ?

Anthony offers him a lemonade.

Edwina : Delicious.

Kate locks herself in her room. Lady Danbury joins her.

Lady Danbury : You should return to the party.
Kate : I shall be there in a moment.
Lady Danbury : Well, the viscount certainly seems to have nettled you. He can be exasperating.
Kate : He is incorrigible. He is not for my sister. I shall make sure she sees of it too, one way or another.
Lady Danbury : Some advice, Miss Sharma ? When one is frustrated, it is often much wiser to focus upon satisfying one’s own needs. Attempting to influence others as to the correct course of action, well, it is often a trying and irritating endeavor that only brings out the worst in us before we discover it has been fruitless all along.
Kate : I am aware I’ve made a fool of myself tonight, Lady Danbury. I do not need to hear it from you. In fact, I do not need to hear it from anyone. I do not care what a single person here thinks of me. Once Edwina is married, I shall return home alone, only too glad to never set foot in this city again.
Lady Danbury : You may not yet know, and that is all well and good. But I, for one, find it not only terribly disheartening but also an offense against truth, to hear you say you wish to be alone at a mere six and twenty ?
Kate : Perhaps you should not. I will be a governess. I will be content knowing my sister is taken care of.
Lady Danbury : Content ?
Kate : Are you so miserable, my lady ?
Lady Danbury : I beg your pardon ? Are you not alone yourself ?
Kate : I watch you. I see you. You are more than content.
Lady Danbury : Because I have lived a life. I am a widow. I have loved. I have lost. I have earned the right to do whatever I please, whenever I please, and however I please to do it. Child, you are not me. And if you continue down this road, you most certainly never will be.

---------------
Lady Whistledown : There are two things that lurk within the dark and shadowy places of our fair city. Vermin and secrets. I shall leave it to you, dear reader, as to which do the most harm. One has to wonder what secrets the season’s diamond is holding near and dear to her heart. And who shall she choose to share them with ? The Viscount Bridgerton, perhaps ? At least the elder Sharma’s opinion on such a matter is certainly no secret at all.
---------------

Bridgerton house.

Pénélope : If you are truly that vexed by the manner in which Lady Whistledown writes still, perhaps you might stop reading ?
Eloïse : She’s finally revealed herself.
Pénélope : What ? El …  
Eloïse : I was not going to tell you this because … Well, I was embarrassed, and I thought I was wrong, but, I paid this printer’s shop a visit yesterday.  
Pénélope : You did ? Did you speak with anyone ?
Eloïse : It does not matter. Pen, look. Not only are these paper stocks identical, but the letter K’s, they are slightly misshapen in the exact same way. Surely it is not likely to be another coïncidence.
Pénélope : Well, we must keep an eye out. If the same mistake is in Whistledown’s next issue, then we will know the print shop is indeed hers.

The next day, at the market.

Pénélope : A new letter « K » for a Stanhope press.
Marchand :  That will be ten pence.
Pénélope : I’ll give you five.
Marchand : Five’s a special rate for repeat customers.
Pénélope : Trust me, friend, I’d exasperate you coming back any more than once. Now give me the discount to keep me away, and we’ll both be happier.
Geneviève Delacroix : Miss Pénélope ?

Penelope runs away.

---------------
Lady Whistledown : To be fair, one might call this author the biggest secret-sharer of all. For who else could possibly keep all of you honest ?
---------------

Brimsley : Here you are, Your Majesty.
Charlotte : And you are certain these are the young ladies our diamond has been conversing with of late ?
Brimsley : Yes, Your Majesty. If our theory is correct, then Lady Whistledown will indeed be in this very collection.
---------------
Lady Whistledown : When even the most well-kept of secrets must eventually come to light.
---------------

Rédigé par Mamynicky

 

Kikavu ?

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belle26 
11.04.2023 vers 17h

vampire141 
19.03.2023 vers 20h

briseis88 
09.02.2023 vers 22h

jptruelove 
06.02.2023 vers 11h

agalia 
30.09.2022 vers 08h

ElevenStra 
29.07.2022 vers 00h

Derniers commentaires

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vampire141  (16.03.2023 à 18:40)

Encore une fois j'adore Kate mon coup de coeur de la saison, sa soeur a coter est fade 

Anthony est pire qu'un gamin a qui on prit son jouer je plains sa future qui le supportera 

je comprend parfaitement faire peneloppe quand on fait que tapisserie 

jptruelove  (06.02.2023 à 11:06)

Trop triste pour Pénélope, c'est dommage qu'elle soit friendzonée comme ça par Colin. Je suis sûre qu'ils pourraient faire un beau couple mais je sens qu'il faudra attendre la saison centrée sur Colin pour que quelque chose arrive, si cela doit arriver. 

Par contre, elle gère super bien en tant que chroniqueuse. Elle a les yeux et les oreilles partout et elle comprend vite les choses. 

J'aime bien la façon dont Anthony fait la cour à Edwina et le conflit permanent avec Kate (même si ça va changer d'ici la fin de la saison...). 

J'aime bien Benedict... J'adore le moment d'escrime entre les trois frères. 

mamynicky  (19.09.2022 à 19:42)

Je n'apprécie vraiment pas Kate. La mère, Mary est toujours aussi absente. Elle aurait tout aussi bien pu rester à Bombay ce qui expliquerait que Kate s'occupe autant de sa sur.

J'ai adoré Anthony quand il prend la place de Lumley aux courses. Il a l'air d'un gamin qui vient de faire une farce, il s'assoit en tenant son chapeau et une jambe en l'air avec un petit sourire de triomphe. Et quand, sans vergogne, il lui prend le deuxième verre de limonade des mains. On le sent vraiment investi : il entraîne la famille "comme un seul homme" aux courses, il part de l'entrainement d'escrime avec ses frères pour s'assurer de sa victoire finale, il engage Benedict pour apprendre à dire de la poésie ... finalement il fera un beau discours en restant honnête.

Je n'aime pas la manière de siffler de Kate, je ne sais pas si le fait de ne pas aimer le personnage, ne me permet pas d'aimer l'actrice et sa doublure voix. Je ne la trouve pas naturelle.

Un bon épisode avec Eloïse et Charlotte, qui par des chemins différents s'approchent de la vérité. Qui y arrivera la première ?

cinto  (18.06.2022 à 19:31)

La file d'attente chez Edwina (enfin, chez Lady Danburry) m'a fait rire! A la caisse du supermarché, les types! 

J'ai bien aimé la rivalité entre Kate et Anthony, aux courses, puis pour le cheval, puis pour la poésie: ils rivalisent et ils flirtent en même temps, à part qu'ils ne le savent pas encore.

Je crois que Kate est très exigente envers les prétendants d'Edwina, parce qu'elle a le même rôle que Atnhony la saison précedente pour Daphné. Elle a un devoir à effecuer et elle aime sa soeur. 

Justement ça va mal avec Edwina, parce que dans cette histoire de rivalité entre sa soeur et Anthony, je sens qu'elle va souffrir; elle s'attache de plus en plus à Anthony...Et elle n'a pas tort, il a été assez honnête au moment du poéme.

Enfin, le reine me semble un peu moins superficielle! ouf! 

Pénélope , j'espère qu'elle va conquérir Colin mais là, c'est mal parti...

 

parenthese  (30.03.2022 à 19:44)

Je trouve que le personnage de Miss Sharma est caricatural .Elle s'oppose à tout , ne laisse pas sa soeur s'exprimer , lui coupe la parole etc.... et sa réaction vis à vis d'Anthony est aussi excessive .Elle oublie ce pourquoi elle est venue en Angleterre , si ce n'est pour que sa soeur fasse un " beau" mariage , dans sa bouche il n'est pas question d'amour mais d'une situation , donc son objectif est proche de celui d'Anthony.

le côté déluré d'Eloise peut parfois agacé  de même que celui de la mère qui veut absolument casé ses enfants les uns après les autres sans savoir réellement ce qu'ils ressentent .

Colin de retour mais qui ne regarde Pénélope comme une amie , j'ai de la peine pour elle .

Bénédict devient au fil du temps mon personnage préféré .

J'espère que les auteurs feront autre chose de Miss Sharma ( je pense que c'est son âge qui fait qu'on l'appelle ainsi )

 

labelette  (30.03.2022 à 13:13)

Je suis ravie du retour de Colin ! Penelope aussi. J'ai par contre eu mal pour elle quand il lui dit qu'elle ne compte pas (dans le sens où il ne la considère pas comme une fille comme les autres et donc potentielle petite amie / femme mais comme une amie).

La scène d'escrime entre les 3 frères était très sympa. J'aime beaucoup Benedict aussi !

La reine a choisi Edwina comme "diamant" de la saison pour découvrir qui est Lady Whistledown. Eloïse aussi aimerait bien le découvrir. Je ne sais pas si elles réussiront car Penelope est assez douée pour garder secrète son identité ! Et elle sait ce qu'Eloïse sait, donc elle a une longueur d'avance.

Je me demande pourquoi Kate (que l'on n'appelle jaais comme ça d'ailleurs, c'est toujours "Miss Sharma") refuse de rencontrer des hommes. Il a du se passer quelque chose ! Et étrangement, elle veut que sa soeur en rencontre un (quelqu'un de bien).

Contributeurs

Merci aux 4 rédacteurs qui ont contribué à la rédaction de cette fiche épisode

albi2302 
cappie02 
labelette 
mamynicky 
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chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Avant-hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Avant-hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, Hier à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

Viens chatter !